1. Les mémoires de Jonathan (3)


    Datte: 24/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ferrée. Une fois au fond de son vagin, touchant le bout de son utérus, qui n’est pas aussi loin qu’il n’y paraît, je démarre doucement pour augmenter progressivement la cadence. Lily-Rose recommence ses murmures de bien-être pour finir par de véritables cris de plaisir. Je me demande si les résidents du manoir l’entendent. Si oui, il doit y en avoir qui sont émoustillés. Je désire prolonger indéfiniment mon coït avec ma cousine mais je dois être réaliste. Mon pénis ne pense pas comme moi. Lui, il est sur le point de venir. Elle sait vraiment y faire cette Lily, ça ne fait même pas quinze minutes que nous faisons l’amour que déjà je suis sur le point jouir. — Eh, je vais venir. Tu veux que je me retire ? — D’habitude je dis oui mais avec toi, c’est ok. Tu peux rester en moi. N’arrêtes surtout pas, je vais joui... Jouiiiir !!!! Sur ces mots, Lily-Rose jouit intensément, expulsant beaucoup de cyprine. Vraiment beaucoup. Serait-elle une femme fontaine ? Je jouis également au son de la jouissance de ma partenaire. Tous deux épuisés mais heureux, en extase encore un moment, nous restons emboités l’un dans l’autre. Ce n’est que lorsque nous reprenons une respiration un peu plus dans la normale que nous nous désunions. Je m’abaisse vers le Graal pour récolter le jus du fruit défendu et nettoyer par là même ma partenaire. Une sorte de remerciement au passage. Qui a dit que remercier quelqu’un ne pouvait nous être bénéfique à tous les deux ? Lorsque j’ai procédé au nettoyage en règle ...
    ... de ma sublime cousine, je remonte progressivement vers sa bouche, embrassant son corps en entier au passage, avant de lui offrir un baiser long et langoureux avec la langue, par-delà même, lui offrant son propre jus à déguster. Ce goût ne semble lui déranger puisqu’elle me dévore la bouche tout aussi ardemment. Une fois nos bouches séparées, et n’ayant plus aucun jus intime sur le menton et autour de la bouche, un mince filet de cyprine relit nos deux lèvres. Cette dernière preuve, qui trahit notre union linguale, fait éclater de rire ma partenaire. Celle-ci descend vers mon outil ramolli et en extrait le préservatif. Elle entame à son tour un nettoyage en règle qui aurait pu démarrer une nouvelle partie de jambes en l’air si elle s’était éternisée sur son bâton à plaisir, et si la fatigue ne nous appelait au sommeil. — Donne-moi le préservatif, je vais aller le jeter dans la toilette. Le dernier acte provocateur de ma cousine fut de me signifie son refus par un signe de tête et de présenter le condom à ses lèvres, avant d’entre-ouvrir ceux-ci, d’y faire pénétrer la base de l’étui et d’y absorber tout son contenu, le trayant comme un tube à yaourt. Cette vue fit sursauter mon membre, notamment au moment où elle avala mon sperme, avant d’aller jeter le préservatif dans le bol du trône tout en tirant la chasse d’eau. Ma cousine revient à mes côtés. — Dis ? Tu n’étais pas obligée d’avaler mon... Enfin tu vois. — Je sais, dit-elle souriante. Mais dès que j’ai gouté à ton beau sexe ...
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