1. Les mémoires de Jonathan (3)


    Datte: 24/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... glissent lentement l’étui en polyuréthane. Pour avoir souvent enfilé des préservatifs, je reconnais ceux faits de latex et ceux qui sont faits de l’autre matière. — La protection c’est important, n’est-ce pas ?, me déclare l’ingénue. — Tout à fait. — Je ne voudrais pas tomber enceinte tout de suite. À cette parole, mon pénis sursaute. Sur ce, ma belle tigresse sourit, m’enjambe et installe ses jambes de chaque côté de mes hanches. Elle caresse une dernière fois mon pénis, qui est au sommet de sa rigidité, avant de le positionner au niveau de l’ouverture de sa vulve. Doucement, me fixant du regard en affichant un rictus, elle s’abaisse progressivement, faisant pénétrer la tête de mon gland dans son vagin. Soudain, elle arrête la progression. Que c’est chaud. Je ressens une chaleur réconfortante, celle que je ressentais il y a plus d’un an et demi, avec ma femme. — Prêts pour la suite ? — Oh que oui !, lui signifié-je. Mon bâton d’amour reprit sa progression tout en lenteur. C’est ma cousine qui fait tout le travail pendant que je me contente de jouer avec ses seins, attrapant son mamelon gauche au passage, avec ma langue. Je joue de la bouche sur les seins de ma cousine, la fille de mon oncle, pendant que mon pénis se fraye un chemin vers son utérus sans que j’en éprouve, à cet instant, le moindre remord. Cette scène est irréelle et pourtant elle se déroule sous mes yeux avec moi comme l’un des protagonistes principaux. Une fois au fond du puits ardent, Lily-Rose entame de ...
    ... lentes ondulations du bassin, massant ma hampe en entier. Elle sait y faire la coquine, ce n’est pas son premier rodéo. Elle désire donner à notre union une touche de mystère, d’érotisme, de sensualité. Tout en douceur, à la noirceur de la nuit où seule la lumière lunaire nous éclaire, le tout dans une chambre luxueuse et spacieuse. Soudain, ma belle émet un petit bruit de sourit tout mignon. C’est sa première démonstration de plaisir depuis sa chevauchée. Ce petit cri a le don de faire remuer mon membre. — Oh, tu as bougé à l’intérieur. Mes cris te plaisent alors ? hwlhccat — Beaucoup, si tu savais. Forte aise, elle recommence de plus belle sa danse des hanches et augmente même la vitesse. À cet instant je me dis qu’elle est une déesse. Sa cavalcade continue, elle exprime plus souvent son plaisir par des sons affriolants, exagérant parfois la tonalité de ceux-ci. Je commence à ne plus pouvoir me retenir. Si elle maintient le rythme, je ne vais pas tarder à lâcher un geyser de sauce chaude. Afin de ne pas terminer sur cette note et la priver de son plaisir naissant, je désunis notre accouplement pour retourner ma cousine sur le dos avant de plonger à nouveau entre l’adorable étau que sont ses cuisses. Le simple fait d’avoir bougé a fait retomber un peu la pression. J’ai évité la cata. Je n’aime pas venir trop tôt alors que ma partenaire n’a pas eu l’occasion de se satisfaire également. J’entame alors une progression lente, me prolongeant en elle comme le chemin d’une voie ...