Les mémoires de Jonathan (3)
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... la plage. Douces, moites, pulpeuses. Nous nous embrassons tels des morts de faim. Nos langues se trouvent, dansent un ballet sans fin, connaissant déjà les pas sans en avoir appris un seul. Chaude, au goût de fraise. Sa langue goûte la fraise ? Ah oui, je me souviens qu’elle a bu un Toschi Fragoli aux fraises. L’intérieur de sa bouche est chaud comme de la braise. J’embrasse un volcan de désirs sensuels, une tornade de fraicheur paradisiaque et érotique. Je parcours son ventre, descends plus bas encore, lèche ses adorables orteils un moment et remonte vers son trésor sacré, jouant des doigts et de ma bouche au passage. Elle est épilée, bien. Je vais pouvoir m’adonner à l’une de mes activités favorites, tout du moins du temps où ma femme était encore de ce monde. Cueillir une perle. J’entame un léchage en règle du contour de ses lèvres, m’approchant lentement de ses secondes lèvres. Je peux affirmer que la mignonne mouille depuis un long moment déjà. Avant même avoir posé ma langue sur son coquillage. Je me rapproche de son antre, tournant autour jusqu’au moment où j’y enfonce la pointe du bout de ma langue, tel un dard. Il y a plus de jus que je ne le croyais. Un régal pour moi qui raffole du nectar de sa fleur. Je remonte la pointe de ma langue, butinant autour de sa boule de chair, la faisant languir d’impatience. — Vas-y !, me souffle-t-elle. — Plaide-t-elle ? lancé-je laconique. — VAS-Y !, s’écrit-elle bestialement. Je dépose à présent ma langue sur son bourgeon en ...
... fleur. Lapant sans cesse son clitoris en érection. — Oui... Oh OUI ! Continu mon amour. N’arrête pas. Ça vient, déclare-t-elle le souffle court. Mon amour ? Elle doit surement avoir dit ça dans le feu de l’action. Elle dépose ses mains sur mes cheveux et s’y agrippe fermement. Je n’avais pas l’intention d’arrêter, ni même de m’en aller en si bonne route. Je continue mon balai lingual et finis par faire jouir Lily-Rose. Elle m’enserre alors la tête dans l’étau de ses jambes qui se sont refermées sur moi, me tenant fermement les cheveux au point où j’en ai mal. Je ne peux que prendre mon mal en patience. La tempête finit par se calmer et l’étau se détend. Je reprends une longue bouffée d’air avant de replonger entre les cuisses de ma partenaire afin de la nettoyer et essayer de faire durer un moment encore son extase. J’aime tout d’elle : sa voix, son rire, son odeur, sa façon de penser et d’être. Je crois que je suis amo... Non, ce doit être encore l’alcool qui parle pour moi. Oui, c’est surement ça. La désinhibition est quelque chose de terrible. Tout comme la passion passagère. Remise de son état extatique, Lily s’excuse de son débordement verbal durant son orgasme et me signifie son désir de poursuivre notre "danse" et de passer à la prochaine figure. Sur ce, elle se tourne vers la table de chevet, ouvre le tiroir du haut et en sort un préservatif. Mais que fait un condom dans cette table ? me dis-je. Je ne peux poursuivre ma réflexion car déjà, des mains touchent ma verge et y ...