1. Les mémoires de Jonathan (3)


    Datte: 24/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... par ces deux cons qui ne me lâchaient pas. Je leur ai dit que j’étais accompagnée mais ils ne me croyaient pas. En désespoir de cause, lorsque je t’ai vu arriver, j’ai pensé que je devais faire quelque chose qui les inciterait à s’en aller et ne plus m’approcher. Donc, je t’ai fait endosser le rôle de mon petit ami et ça a marché, ils ont détalé sans demander leur reste. -... Je vois... C’est surement un réflexe naturel. — Comment ça ? — Eh bien chez les animaux, prenons l’exemple des lions, les jeunes mâles ne cherchent pas à voler les rester de nourritures du lion alpha, et encore moins lui voler sa femelle. Donc, ils ont dû se dire que tu étais en couple avec moi et que pour t’avoir, c’était fichu. Ils n’allaient tout de même pas se battre car contrairement aux animaux, ce n’est pas ainsi que les hommes réussissent à conquérir le cœur d’une femme et à obtenir les faveurs de la compagne d’un autre homme. À ce raisonnement, elle éclate de rire et déclare que je suis amusant. Nous passons la journée entre séance de bronzage et natation dans la mer. Natation est un grand mot car Lily-Rose s’accroche plus à mon cou et m’enlace plus que nous nageons. Je ne sais pourquoi mais elle est plus proche de moi en cette journée. Tout du moins, elle recherche plus de contact physique entre nous. Je crois que le baiser en a été le déclencheur, à moins qu’il n’ait fait que renforcer notre complicité puisque je ne me suis pas mis en colère contre elle. Peut-être est-ce le fait que je ne ...
    ... contrôle plus mes sens et que mon soldat est presque toujours au garde à vous ? J’aurais pu me fâcher, elle est ma cousine et j’ai encore de la difficulté à faite mon deuil. Mais ce n’est pas le cas. Oh Marie, tu me manques, ta chaleur me manque... J’ai joué le jeu et lui ai venu en aide. Elle c’est peut-être rapprochée de moi avec ce geste. J’aurais pu faire le contraire et la laisser en plan mais je ne suis pas ainsi... Au fond de moi, je suis hypocrite envers moi-même. Son baiser... Il m’a plus. Très plus. Mais c’est ma cousine et de quoi aurais-je l’air si je touchais à ma cousine. Que dirait mon oncle, ma famille, mon amie Gwen ? Ma femme ? Non, je dois chasser ces pensées, je dois m’accrocher à mon désir pour ma femme et mon chagrin envers sa disparition. Quoique Gwen, elle serait capable de m’encourager à poursuivre dans cette voie. Au couchant du soleil, nous nous changeons de nouveau, sans que cette fois je ne joue les voyeurs, et partons pour la maison de mon oncle. Une fois arrivés, nous sommes accueillis par mon oncle et mon père qui nous informent que toute la famille nous attend pour le dîner. Nous partons nous changer, Lily-Rose et moi, et allons prendre une douche avant de redescendre habillés. J’arrive au salon et constate que ma cousine n’est pas encore descendue. Je bavarde avec mon père qui me taquine un tantinet, notamment en ce qui concerne notre escapade à Lily-Rose et moi, quand ma tante vient s’en mêler. — Oh, Moris ! Laisse donc ton fils tranquille. S’il ...
«12...456...11»