Les mémoires de Jonathan (3)
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... veut fréquenter Lily-Rose, après tout, il en a le droit. Il est un adulte, non ? Ce choix lui revient et c’est un sujet personnel. Tu as toujours eu l’art du bagou de mauvais goût. Elle termine cette phrase en m’offrant un clin d’œil. Mon père, à cette rhétorique, éclate de rire. Décidément, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. On se paie donc ma tronche ce soir. Ma mère intervient et sermonne les deux larrons qui se sont ligués contre moi. Sa verve lui permet de les convaincre aisément. Soudain, mon paternel cesse tout rire et siffle d’admiration. Je me retourne et vois ma cousine descendre l’escalier. Elle porte une robe rouge fendue sur le côté. Ses escarpins blancs sont visibles à chaque pas. Elle s’est magnifiquement maquillée, ce qui met son collier et ses boucles d’oreilles ornés d’un rubis en valeur, sans oublier le rôle du décolleter plongeant sans en être vulgaire. Je comprends pourquoi mon père a sifflé de la sorte. Je suis estomaqué, époustouflé. Il n’y a pas de mot pour décrire mon émerveillement du moment. Lily-Rose s’en aperçoit et me sourit. Elle est fière de l’effet que sa tenue a sur les nombreux invités. C’est son moment de gloire et elle en profite. Une fois tous attablé, mon oncle fait un discours afin de remercier la famille de son déplacement. Le repas se passe bien et le vin coule à foison. C’est pompette que je regagne ma chambre, non sans difficulté. Une fois dans celle-ci, je me débarrasse de mes vêtements en ayant des difficultés avec ma ...
... chemise. Je m’étends, nu, sur mon lit, des draps légers recouvrant ma nudité jusqu’au niveau du nombril. Je ferme les yeux. Environ une demi-heure plus tard, j’entends un bruit et j’ouvre lentement les yeux. C’est Lily. Ma cousine est entrée dans ma chambre, sans faire de bruit jusque-là. Je la regarde, hagard, et elle sourit. — Mais qu’est-ce que tu fais ici ? — Chuut ! Les autres ne dorment pas tous. Lily abaisse sa bretelle de gauche et la droite suit aussitôt. Nombre d’idées me traversent l’esprit avant la suite du spectacle. Je sais que je ne devrais pas la regarder, que je devrais la congédier sur-le-champ et tout arrêter avant qu’il ne soit trop tard, sans retour possible en arrière. Pouvant détruire toute relation naissante entre nous et pouvant occasionner une scission au sein de notre famille. Mais en même temps, sur le moment, je n’en ai cure. L’alcool aidant à désinhiber, c’est sans remord que je contemple le cadeau des dieux qui m’est offert par Aphrodite ou une quelconque divinité féminine de l’amour et de la passion, et surtout je remercie en pensée ma cousine, que j’aime décidément de plus en plus, de ce magnifique cadeau. Soudain, la naïade se met à onduler son corps, roulant des hanches sur une danse imaginaire improvisée. Sa robe glisse lentement sur sa peau jusqu’à choir au sol. Grandiose, le spectacle qui m’est offert me coupe le souffle. Sauf à un endroit apparemment. Un chapiteau s’est formé sous les draps, ce qui ne peut passer inaperçu aux yeux d’une ...