Les mémoires de Jonathan (3)
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tigresse en manque d’affection. Sa danse continue toujours et la divine beauté s’avance jusqu’au bord du lit en se pourléchant les lèvres. Sans sommation, elle grimpe sur le lit en avançant à quatre pattes telle un félin, creusant ses reins. La belle panthère en a après le morceau de chair qui se cache sous le textile. Arrivée au niveau de mon nombril, elle embrasse mon ventre, passe sa langue sur chacune de mes tablettes de chocolat. Ce contact m’électrise. Il finit d’achever, si ce n’était déjà fait, la croissance de mon arbre à plaisir. Il faut dire que toute la journée durant, je n’ai eu de cesse d’être aguiché, tempêter, mis ma volonté à l’épreuve par ma cousine qui balançait son bassin, roulait des hanches, dans une démarche sexy, plus que provocante, qui frôlait les limites de l’exagération. La coquine a cherché à me chauffer à blanc, maintenant, il y a un feu de forêt en moi que seule une déesse pourra éteindre par une mousson de sensations extatiques. Comme Lily-Rose a débuté le jeu, elle s’y prête volontiers pour le terminer. Quel courage, quel don de soi. Cette fille m’étonne toujours davantage. Elle garde le sourire quoiqu’il advienne, peu importe l’ampleur du sommet à gravir. Sa langue descend jusqu’à toucher le tissu et repart en sens inverse avec le drap entre ses dents qui couvre le principal. Une fois l’oiseau à l’air, elle tourne autour, rapprochant ses pattes fines afin de lui couper tout élan pour parer l’envole imminent. Elle le lèche délicatement, ...
... désirant gouter l’arôme de son quatre heures. La féline en frissonne de bonheur. Elle plonge droit sur l’objectif et l’avale tel un requin vorace. Lily-Rose entame alors la plus douce des fellations auquel j’ai eu droit au cours de ma courte existence. Sa bouche... Oh sa bouche. Elle est moelleuse à souhait, chaude et humide à la fois. C’est comme si un aspirateur avait fusionné avec l’eau chaude d’une source thermale. Elle met beaucoup de cœur à l’œuvre et son siphonage fait son effet. Après plus d’un an et demi sans entraînement sexuel, j’arrive au bout de mes limites. J’annonce à ma partenaire que le tsunami va arriver et elle retire sa bouche pour me finir à la main. Délivrance, ces secondes d’extase sont juste merveilleuses. Je me vide de toute la rage et l’amertume accumulée depuis plus d’un an. Terminant l’écoulement de ma sève, ma cousine prolonge un tant soit peu son lent massage sur ma hampe. Elle finit par m’emboucher afin de me nettoyer, passant sa langue sous le frein, ce qui me fait frissonner. Elle part vers la salle de bain et revient avec une serviette pour nettoyer mon torse. Une fois cette tâche accomplie, elle approche de moi et je lui signifie mon désir de la voir étendue sur le dos, ce qu’elle fait sans poser de question. — À mon tour à présent ! Je débute par de légers baisers dans le cou, sur sa veine jugulaire, ses paupières, son nez, ses pommettes, son front. Mes lèvres finissent par atterrir sur sa bouche. Je retrouve les sensations de tout à l’heure, sur ...