Comment je suis devenu un homme Ch. 03
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... longues giclées de sperme. - Mon amour; que tu es fort murmura-t-elle Sur quoi apaisés, nous restâmes prostrés l'un dans l'autre bon quart d'heure. - François, tu n'as vraiment que dix-sept ans? - Oui, enfin bientôt. - Pourquoi... - Pourquoi quoi? - Rien. Une fois revenus sur terre, nous partageâmes en vitesse son repas. J'aurais bien "remis le couvert", mais hélas il fallait songer à retourner au magasin. Il n'y avait pas photo, j'étais tombé sur une nénette super, pas repoussante d'aspect et qui avait soif de bite. Le problème étant comment allais-je gérer les choses, tout au moins jusqu'à la fin de ce mois de juillet,? Car après comme j'avais décidé de travailler pendant toutes mes vacances ma petite maman serait pour un mois avec mon cher père. Autant dire que j'avais l'intention de m'installer chez Gisèle. Heureuse époque, sans téléphone et autres portables! Comme pendant la matinée, Gisèle ne manqua aucune occasion de venir me relancer dans la réserve. Elle me fit promettre de revenir dès le soir même. Avec beaucoup de patience, j'arrivais à lui faire comprendre que cela serait difficile, mais que peut-être... Sur quoi elle décida de me confier une clé de son logement, ce qu'elle fit, en me retrouvant à la sortie à 19 heures. En rentrant au logis familial, je mis au point un stratagème qui devrait me permettre d'aller retrouver ma nouvelle maîtresse. Le tout étant de faire avaler à ma petite maman que nous devions tirer des photos chez mon copain Julien. Cela ...
... reposait sur une base réelle, car nous avions réellement monté un petit labo photo dans la chaufferie de l'immeuble dont la mère de Julien était la concierge. Je promis de ne pas trop m'attarder, et maman accepta que je la laisse se mettre au lit seule. Ouf! À vingt heures vingt-cinq je la quittais. Vingt minutes de marche à pieds vers le nirvana , et je m'efforçais d'ouvrir la porte discrètement , mais.. - C'est toi François? - Oui ma chérie - Viens vite mon amour... Dans la pénombre je retrouvais le corps de la jeune femme. Elle était vêtue d'une seule nuisette, qui cachait à peine son pubis. Je posais un baiser appuyé sur sa toison avant de la serrer dans mes bras. Mon sexe cela va sans dire était déjà en érection maximale, mais je tenais à y mettre les formes, ne pas brusquer les choses. Après tout, même si je devais réintégrer le domicile familial, pour devoir rejoindre maman, nous disposions d'une grande partie de la nuit. - "Gigi". SI tu le veux bien rien que pour moi tu seras Gigi, ma Gigi - Ce sera entre nous mon chéri, je serais ta petite femme... Décidément, c'était une manie. Déjà ma mère m'avait dévolu à cet "emploi" Certes le "sexe" avait été une révélation pour moi lorsqu'à à peine seize ans je l'avais suborné. Je n'avais eu aucun mal après l'avoir possédé à la soumettre. C'était dans sa nature, j'avais souvent entendu mon père lui rappeler qu'elle était "soumise", sous sa domination tant mentale que sexuelle. En quelque sorte, je l'avais libéré de la pesante férule ...