Comment je suis devenu un homme Ch. 03
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... maritale qui l'étouffait. Et sans aucune prétention, j'avais la sensation qu'elle jouissait enfin sans entrave lorsqu'elle se donnait à moi, son enfant. Pour en revenir à ma Gigi, je la caressais amoureusement, pour l'amener progressivement à s'offrir. Je baisais ses seins bien fermes, titillant ses tétons durcis entre mes lèvres, faisant mine de la téter, pendant que mes doigts s'employaient à explorer l'intimité de son vagin déjà inondé . Entre pouce, index et majeur je "triturais" en douceur son clitoris offert. Je la tenais à ma merci, mais je voulais qu'elle "implore". Je jouais sur du velours. N'y tenant plus, c'est elle qui vint sur moi, me chevaucha, dirigeant de sa main mon vit dans son sexe ardent. Je rallumais la lampe de chevet pour profiter au maximum du spectacle. Cambrais mes reins pour qu'elle puisse s'empaler bien à fond sur le pivot de la joie que je lui offrais. Je la trouvais vraiment belle, me chevauchant "au trot enlevé" son visage juste au dessus du mien, submergé par ses longs cheveux blonds. Afin de faire durer le plaisir je m'efforçais de limiter la cadence qu'elle semblait vouloir effrénée. Je ne pouvais plus me retenir, mais j'étais certain qu'elle même en était au même stade. Je me laissais aller, giclant mon plaisir dans sa vulve amoureuse. Elle s'affaissa sur moi, toute "chattemite". Lorsqu'elle eut repris son souffle,elle murmura: - C'est la première fois, - La première fois? - Que "je fais l'amour". Raymond n'a pas ta douceur. Il me "prend" ...
... il ne m'attend pas. Toi tu es doux mon chéri. Et Gisèle, qui était-elle? Une jeune mariée infidèle, une jeune femme amoureuse, ou tout simplement une femelle en rut? Elle était douce, câline, aimante, elle s'offrait mais gardait quand même une grande part de pudeur. Peut-être vivait-elle simplement mal l'absence de son mari? Pour ce qu'elle m'en avait dit, Il ne l'avait épousé que pour tenter d'échapper au départ pour l'Algérie. Je m'éveillais nous étions toujours enlacés. À la clarté de la lune j'observais ma compagne. J'avais eu la bonne fortune d'être tombé au bon endroit, au bon moment... Ma montre indiquait un peu moins de minuit. Je respirais l'odeur des cheveux de ma blonde compagne. Je ne voulais pas la réveiller, mais il allait bien falloir me lever. Je posais un baiser sur son front, me dégageant aussi doucement que possible. Tout en me rhabillant, je contemplais ce jeune corps. Elle dormait comme une enfant, apaisée, mais je devais partir. J'ouvris et refermais la porte sans bruit, et me mis en route pour regagner mon "foyer". Avec les mêmes précautions que j'avais prises pour quitter Gisèle, je réintégrais le domicile, et me glissais dans le lit maternel. - Tu rentres tard, il est presque une heure! - Maman tu dormais je n'osais pas te réveiller. Et évidemment elle vint se coller contre moi. Comme je n'avais pas envie qu'elle se saisisse de ma queue, à laquelle adhérait encore des traces de mes précédents ébats, je passais à l'action au plus vite, me doutant que je ...