... - 5 octobre
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fffh,
extracon,
médical,
enceinte,
contrainte,
Oral
pénétratio,
policier,
fantastiqu,
couplea3,
... est vite passé et je ne vais tout de même pas geindre sur mon sort. Et il faut bien avouer qu’il des avantages. Si une de ces demoiselles n’est pas en forme, a la migraine, n’est pas bien disposée, si, si ce sont des choses qui peuvent arriver, et que j’ai envie de faire crac crac, je n’aurais pas à faire ceinture. Je la laisse se reposer, sans l’importuner, ce qui a des chances d’améliorer son humeur à elle. Quant à mon humeur à moi, la frustration ne la fait pas virer au noir puisque je trouverais quand même un réconfort… Après avoir aidé Gwendoline à ouvrir le canapé, Dominique et moi nous dirigeons vers la chambre. Nous faisons escale à la salle de bain pour une douche commune. Tandis que l’eau ruisselle sur nous. Je la serre dans mes bras, son cœur vibre et son désir croit, le mien aussi d’ailleurs. Je lui soulève le menton pour l’embrasser. Quand nos bouches se séparent, il faut bien reprendre son souffle, nous disons en même temps : — Tu m’as manqué. Cela nous fait sourire et nous enchaînons toujours de concert : — Je t’aime. Là nous éclatons de rire. J’explore sa poitrine des mains et de la bouche. En sortant nous nous essuyons rapidement, la canicule est loin et on a moins envie de traîner mouillé. Je l’entraîne vers le lit. À la vérité, je n’ai pas besoin de l’entraîner, je devrais plutôt dire nous nous entraînons vers le lit. Elle s’y installe à quatre pattes, levant haut les fesses. Je m’installe à genoux derrière elle et la saisis par les hanches. Ma virilité ...
... pointe naturellement vers ce que la nature a prévu pour l’accueillir. Après avoir un peu balancé, mon gland trouve sa place, contre ses lèvres congestionnées. J’entre dans sa grotte d’amour lentement, millimètre par millimètre, voulant savourer chaque moment de la pénétration. Ça y est je suis planté en elle jusqu’à la garde, ses fesses contre mon ventre. Je commence, d’abord lentement, à ramoner son conduit si doux. Sa respiration devient saccadée. Brusquement elle lance : — Tu peux continuer jusqu’au bout. Je prends la pilule. Elle ne croit pas si bien dire, soudainement je sens que je vais partir. Je ne parviens pas à me contenir. Je me répands en elle. Elle ne m’a pas accompagné, je sens un bref désappointement. Elle n’y arrête pas, se retourne et prend les choses en mains, je devrais plutôt dire en bouche. Elle s’applique à me redonner de la consistance. Elle y réussit à merveille. Il faut dire que de la langue et des lèvres elle fait tout ce qu’il faut pour. Elle relève un peu la tête, jugeant le résultat obtenu satisfaisant, elle reprend sa position initiale, tendant encore plus la croupe si cela est possible. Je retrouve le chemin tout à l’heure déserté et le sillonne de nouveau avec entrain. Cette fois-ci, je tiens la distance. Je sens son plaisir monter une première fois. Je la maintiens fermement et continue à la pistonner. Une seconde fois elle prend son pied, les mouvements désordonnés de son bassin me font arroser une nouvelle fois sa chatte. Pour une reprise de ...