1. ... - 5 octobre


    Datte: 30/04/2021, Catégories: fffh, extracon, médical, enceinte, contrainte, Oral pénétratio, policier, fantastiqu, couplea3,

    ... Je lui retire sa main et demande à Dominique de la remplacer en lui expliquant ce que je tente et l’inconnu des conséquences de cette action. Sans hésitation, elle pose ses deux mains sur mon cou. Je lui demande de me prévenir si elle se sent quoique ce soit d’anormal. Je ne sais combien de temps nous restons ainsi, mais Véronique finit par murmurer « Bernard » et ouvrir les yeux un pâle sourire aux lèvres. Elle regarde dans notre direction, son sourire se voile en même temps que son esprit. Malgré mes efforts, rien de plus ne se passe. Je suis fatigué, si je veux l’aider il ne faut pas que je m’épuise. On me ramène dans ma chambre. Dans les jours qui suivent, avec l’aide de sa sœur, de son frère, de la copine de celui-ci, de mes amis de la boutique, je lui donne de la vitalité. Je ne vous dis pas la tête qu’ils ont faite quand je leur ai demandé. D’autant que le résultat n’est pas à la hauteur de nos efforts. C’est désespérant. Seuls quelques mots qu’elle échange avec sa sœur donnent quelque espoir. L’effet bénéfique est plutôt sur moi. J’ai tant envie d’aider Véronique que mon état s’améliore à grande vitesse, d’autant qu’apparemment le soutien que je tente d’apporter n’a pas sur moi l’effet dévastateur qu’il avait sur elle. Peut-être parce que je me fais assister. On a oublié de me redonner carafe d’eau et verre, je sonne. Une infirmière arrive. Je ne connais pas son visage, mais la reconnais immédiatement, c’est celle qui venait faire les parties de jambes en l’air dans ...
    ... ma chambre. C’est une mignonne petite blondinette d’environ 25 ans, avec un visage d’ange à qui l’on donnerait le Bon dieu sans confession. Quelle n’est pas ma surprise en apercevant à son doigt une alliance. Après avoir échangé quelques banalités, je lui demande si je peux lui poser une question indiscrète, et sans attendre j’enchaîne : — Pourquoi vous êtes-vous mariée ?— Parce qu’on s’aime. Là-dessus elle part chercher de quoi me désaltérer. Je pense qu’elle a une drôle de façon d’aimer son mari en se faisant culbuter comme elle le fait. À son retour, je lance : — Je suis désolé de bouleverser vos habitudes.— Ce n’est rien.— J’espère que vous avez trouvé un autre endroit.— Un autre endroit ? demande-t-elle déconcertée.— Pour préserver la santé de votre mari.— La santé de mon mari ? Son esprit est rempli d’incertitude. — Si vous n’avez pas trouvé un autre coin tranquille pour éteindre le feu, il risque de s’épuiser. Elle bafouille, l’esprit en pleine confusion. J’enfonce le clou : — Il doit vous être reconnaissant de prendre ainsi soin à ne pas trop le fatiguer. Méchamment j’ajoute : — Ça vous permet même peut-être d’arrondir les fins de mois. Ses pensées ne sont plus que chaos. L’incompréhension, la peur, la honte dominent. Elle me regarde la bouche ouverte, les yeux agrandis. Ces derniers se remplissent de larmes. Elle éclate en sanglot, tourne les talons et s’enfuit. Je regrette immédiatement ma sortie. Je ne sais ce qui m’a pris. Et puis de quoi je me mêle, cela ne me ...
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