Perfectionnement
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
hh,
hsoumis,
Transexuels
Oral
hsodo,
Je retrouvais Victor presque deux fois par semaine, suivant les possibilités de nos emplois du temps. Il venait me chercher et, soit il me ramenait deux ou trois heures après, soit je passais la nuit avec lui. Nous nous connaissions à merveille et nos séances étaient toujours torrides. Il apportait de temps en temps quelques variantes à nos rencontres. Nous avons parfois eu des relations dehors, en plein jour : l’exploitation agricole dont il s’occupait était suffisamment vaste pour que l’on trouve des endroits discrets, mais il y avait toujours la possibilité d’être surpris, ce qui ajoutait du piment à ces étreintes. Un de ses autres plaisirs était de m’habiller en fille. Ce n’était pas spontané pour moi : si, dans mes rapports sexuels, je ressentais les mêmes envies qu’une femme (me donner, être possédé), je n’ai jamais éprouvé le besoin de me travestir. Mais je me prêtais à ce jeu qui n’avait que des conséquences agréables pour moi, car il excitait énormément mon amant. Un soir, dans sa maison, il m’avait fait mettre une tenue particulièrement réussie : une jupe courte et un blouson léger ; dessous, rien, pas de culotte. Avec des cheveux bouclés mi-longs (la mode de l’époque), un visage assez fin, des fesses plutôt féminines et une quasi-absence de poils, je pouvais faire illusion dans la pénombre, mais sans tromper personne. Alors que Victor commençait à me peloter, j’entendis le bruit d’une mobylette entrant dans la cour située devant la maison. Mon amant ouvrit la ...
... porte et revint quelques instants plus tard avec un Arabe moustachu d’environ 45 ans. Ne m’attendant pas à ce qu’il fasse entrer ce visiteur, je fus extrêmement gêné de me trouver devant lui dans cette tenue très ambigüe. Mais Victor n’était nullement troublé. — Je te présente Lharbi, un Marocain qui travaille avec moi à la ferme. Il rentre chez lui une fois par an pour baiser sa femme et lui faire un enfant. Habitué à sa grossièreté en privé, je fus cependant gêné par ses propos ; je tendis la main à ce nouvel arrivant qui arborait un sourire un peu bizarre quand j’entendis Victor lui dire : — Je te présente ma nouvelle salope. À ces mots, je devins rouge de honte. Si ma relation avec Victor était très régulière, c’était un secret absolu et je n’en parlais évidemment à personne. J’avais deux façades bien différentes et, avec les autres, j’étais un garçon "normal". Le sourire de l’Arabe me confirma qu’il n’était pas ici par hasard. Victor ne s’en tint pas là et lui demanda aussitôt : — Tu veux voir son cul ? Avant que l’autre ait eu le temps de répondre, il me commanda : — Montre-lui ! J’étais extrêmement mal à l’aise devant cet ordre qui ne pouvait plus laisser de doute - s’il en avait jamais eu - au Marocain. En me retournant, je pouvais dissimuler mon visage cramoisi. Je sentis bientôt ma jupe soulevée, puis une main rugueuse me palpa les fesses, comme si j’étais du bétail. C’était celle de Lharbi qui disait, avec un fort accent : — Ti avais raison, il a un beau cul. Ma honte ...