1. Perfectionnement


    Datte: 30/04/2021, Catégories: hh, hsoumis, Transexuels Oral hsodo,

    ... commençait à disparaître. J’en voulais à Victor d’avoir parlé de moi à d’autres mais, en même temps, cette situation de femelle exposée aux envies de mâles commençait à m’exciter. — Suce-le ! s’exclama Victor. Encore gêné, je me retournai vers le Marocain qui s’était assis. Je me mis à genoux devant lui et entrepris d’ouvrir sa braguette. Après quelques efforts, je sortis son sexe d’un slip douteux. Il ne bandait qu’à moitié, mais son gland circoncis était dégagé. Son sexe était plus mince que celui de Victor, mais son gland, aussi gros, en paraissait démesurément large : il ressemblait un peu à une grosse sucette ronde. J’approchai ma bouche : il s’en dégageait une belle odeur de mâle, comme celui de Victor, et je commençai à le sucer avec l’expérience que j’avais acquise, mon nez aspirant cette odeur excitante. L’Arabe ne disait rien, mais son raidissement me rassura. Je m’appliquais à bien serrer mes lèvres et ma langue, quand je sentis ses mains se poser derrière ma nuque : il me gardait prisonnier contre lui, de sorte qu’il m’était impossible de sortir son sexe de ma bouche. Sur le moment, je n’appréciais pas trop cette prison. Mais comme c’était le signe que j’allais en prendre plein la bouche, cela finit par me plaire. Moins d’une minute plus tard, je sentis le sexe gonfler et se tendre ; puis Lharbi jouit à grands jets épais, me tenant toujours serré pour que je ne le lâche pas. Je fus obligé de l’avaler jusqu’au bout, ce qui était loin de me déplaire. La pression ...
    ... sur ma tête ne se relâcha que lorsqu’il se fut vidé, et cela dura plus longtemps qu’avec mon amant habituel. Curieusement, il n’avait émis aucun son, dit aucun mot, ce qui était un peu frustrant : les gémissements m’encouragent. Mais la vitesse à laquelle il avait joui m’avait prouvé que j’avais bien travaillé. J’avais à peine redressé la tête que j’entendis : — Viens dans la chambre !. Victor, excité de me voir sucer Lharbi, s’était caressé et exhibait un sexe bien tendu sortant de sa braguette. Je le suivis dans la chambre. Après que je lui eus enlevé son pantalon et son slip (il aimait me voir soumis, à ses pieds, mon visage près de son sexe), il s’allongea sur le dos et m’ordonna : — Viens me sucer ! Docile, je me glissai entre ses jambes et commençai ma deuxième pipe deux minutes après la première. Allongé entre ses jambes, je retrouvais mes repères et commençais à me décontracter et à apprécier mon travail en suçant avec plaisir mon maître dont je connaissais bien les envies et qui râlait de plaisir sous l’action de mes lèvres. Soudain, deux mains se posèrent sur mes hanches pour me tirer vers le haut. Victor m’ordonna : — Lève ton cul ! J’étais habitué à son langage naturellement cru et vulgaire, et comme Lharbi avait déjà vu mon postérieur et connu ma bouche, cela ne me dérangea pas. Je me mis à genoux, jambes écartées, la bouche toujours sur le sexe de mon amant. Lharbi venait tout juste de jouir, il n’allait certainement pas me prendre deux minutes après ! Je compris ...