Perfectionnement
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
hh,
hsoumis,
Transexuels
Oral
hsodo,
... fesses étaient endolories par ces trois hommages très arrosés dont un large trop-plein s’était écoulé à l’intérieur de mes cuisses. Ma bouche avait été comblée, mes narines respiraient avec délectation l’odeur de sexe qui flottait dans la pièce. Comme toujours avec Victor, cette séance se termina par des baisers très humides de salive et de sperme mélangés, hommages à ma bouche qui avait donné tant de plaisir. Par la suite, je "connus" quelques-uns des autres Maghrébins travaillant sur la propriété. Ils étaient à peu près tous dans la même situation : mariés dans leur pays, avec une nombreuse progéniture, ils passaient presque toute l’année à travailler dur, logés dans des caravanes près de la ferme. Leur maigre salaire partait au pays, et se payer une prostituée était un luxe qu’ils n’envisageaient pas de faire. Pour satisfaire leurs envies de mâle, ils se contentaient des étudiants, nombreux dans la région, que Victor leur ramenait parfois. Ce n’étaient pas de vrais homosexuels, seulement des hommes aux fortes pulsions sexuelles qui baisaient ce qu’ils trouvaient, un peu comme cela doit se passer dans les prisons. Ils m’appréciaient beaucoup car, étant sans poil et avec des fesses bien rondes, je pouvais facilement évoquer une femme ...
... dans la position dans laquelle ils préféraient me prendre : à genoux sur le lit, fesses bien hautes et jambes écartées, la tête dans les draps. Il n’était pas question qu’ils embrassent et j’eus même assez peu l’occasion de les sucer en dehors de Lharbi et d’un autre : ils ne pensaient qu’à me prendre par derrière, ce qui préservait leur pudeur car ils n’étaient pas exhibitionnistes comme je l’étais devenu, et c’était, la plupart du temps, pantalon simplement baissé qu’ils me prenaient. Je découvrais malgré tout des sexes de toutes les grosseurs et longueurs, très étonné de tant de variété. S’ils n’étaient pas aussi câlins que Victor, leur frénésie sexuelle me comblait. Mon côté femelle y trouvait très largement son compte, d’autant plus que Victor, très excité par ce qu’il voyait, touvait la force de terminer ces soirées en me prenant une dernière fois. Pendant les deux années qui suivirent ma rencontre avec Victor, je ne connus plus que ces hommes, et oubliai complètement les filles. J’avais entièrement basculé dans ce type d’homosexualité où mon comportement était uniquement celui d’une femelle avide de sexe. Uniquement passif, je n’ai jamais eu l’envie de baiser un autre homme, et je ne désirais m’offrir qu’à des hommes plus âgés.