Perfectionnement - Histoires de Sexe

Perfectionnement

... vite mon erreur quand, après qu’il eut soulevé la jupe, il commença à frotter son sexe dur contre mes fesses. À peine avais-je mis un peu de salive pour faciliter le passage, que l’Arabe me pénétra en force. Toujours muet, debout au pied du lit, il me baisa méthodiquement, à grands coups de reins, avec une régularité de métronome. J’imaginais son gros gland entre mes fesses et l’idée s’ajoutait à la sensation pour accroître mon plaisir. J’étais comblé : pour la première fois, deux sexes d’hommes s’activaient en moi, et c’étaient de vrais mâles. Mon dépucelage douloureux avait été bien fait, car me faire baiser était devenu maintenant une vraie jouissance. Il m’est même arrivé d’éjaculer sans me toucher pendant que je me faisais prendre : quand j’étais sur le ventre, les mouvements de mon amant me faisaient frotter sur le drap ; sur le dos, son ventre parvenait parfois à ce résultat. Je me concentrais pour profiter entièrement de ces deux membres qui étaient en moi, pour éviter de ne penser qu’à un seul. Victor déchargea le premier dans ma bouche, sans doute excité par le spectacle. J’avalais ce sperme familier qui me rappelait mes débuts. Quant à Lharbi, il s’activait de plus en plus vite. Il ne put enfin retenir un léger grognement quand il se vida au plus profond de moi. Pendant qu’il continuait à pomper, je sentis son sperme commencer à couler à l’intérieur de ma cuisse, signe de l’abondance de son plaisir. J’ai eu par la suite l’occasion de voir ses éjaculations : un ...

... jour que je le suçais, sa première décharge un peu trop abondante déclencha chez moi une sorte d’étouffement qui me donna la force réflexe de dégager ma tête de ses mains. Je vis alors le sexe que je tenais encore envoyer des jets d’une force et d’une quantité que je n’aurais jamais imaginées. J’étais vraiment très loin de son niveau de virilité ; cet homme ne devait pas avoir beaucoup de difficulté à donner du plaisir à une femme. Il ne cessait ses allers et retours et je sentais son sexe toujours dur. Cela faisait une espèce de bruit humide, obscène, et j’étais étonné qu’il ne débande pas. Je me sentais chaud et mouillé à l’intérieur. Le sperme dont il m’avait rempli rendait les va-et-vient très doux et lui permettait de temps en temps de sortir complètement avant de replonger, excitant la partie la plus sensible de mes fesses. Il continua puissamment pendant dix bonnes minutes puis, accélérant le rythme, recommença à grogner tandis que je sentais les contractions de son sexe, si caractéristiques de la jouissance. Quelle sensation, la tête enfouie contre le sexe de mon amant, mon nez dans ses poils, de me sentir la source et le récipient de tant d’excitation masculine. Je fus surtout étonné des performances de ce Marocain qui avait réussi à jouir trois fois de suite, pratiquement sans débander, phénomène que je n’ai plus jamais observé. J’eus aussi la fierté de penser que mes formes étaient pour quelque chose dans cette prouesse… Ce soir-là, Victor me fit aussi l’amour. Mes ...