1. In sexo veritas


    Datte: 01/05/2021, Catégories: grp, facial, Oral pénétratio, sf,

    ... dans les radiateurs de l’hôpital. Tous les bâtiments collectifs, et beaucoup de maisons individuelles, celles qui disposent d’un jardin notamment, sont équipés de la sorte. Plus besoin de pétrole pour se chauffer !— C’est très ingénieux ! Mais ça ne résout pas le problème des céréales et des oléagineux.— Si. Ces surfaces de culture ont été reconverties en prairie. Il faut bien alimenter en foin toutes ces vaches !— Vous m’impressionnez, Thomas !— Et ce n’est pas fini ! Les vaches produisent des bouses, des quantités énormes de bouse. Nous les récupérons, les mélangeons au lait et laissons fermenter l’ensemble. La fermentation produit de l’éthanol que nous utilisons comme carburant. Nos voitures roulent à la bouse de vache ! Le rendement de ce carburant un peu spécial est très faible en comparaison de celui de l’essence, mais cela n’a aucune importance puisque ce mélange est produit en quantité phénoménale. Aujourd’hui, chacun fabrique son propre carburant à volonté, avec ce que lui donnent sa ou ses vaches. Peu importe que la consommation soit le triple de celle du gasoil ! Là encore, plus besoin de pétrole ! Lizzie McCormick était désormais admirative. Elle n’imaginait pas que ces petits Français avaient pu être aussi ingénieux et imaginatifs. En même temps elle mesurait le chemin qu’il restait à parcourir à son pays pour appliquer le même type de mesures. Sa thèse n’allait pas être si facile à rédiger, et sa crédibilité de chercheuse risquait d’être mise à mal. Mais elle ...
    ... repoussa ces considérations à plus tard, il serait bien temps de s’en préoccuper à son retour. Thomas affichait un sourire radieux. Il avait pu constater le changement dans l’attitude de Lizzie depuis son arrivée, les différents stades par lesquels elle était passée pour arriver à ce qui ressemblait maintenant à une admiration sans bornes. Le regard qu’elle portait sur lui, le messager, le professeur, avait suivi une évolution similaire. Le fruit avait mûri, il allait bientôt être bon à cueillir. Il fallait maintenant passer à la dernière étape. — Bien Lizzie, il nous reste un grand sujet à aborder, le principal, la véritable clé de la réussite française.— Qu’est-ce que c’est ?— Je vais vous montrer. Montons dans un service de soins. Thomas invita Lizzie à le précéder dans l’escalier. Il put tout à loisir apprécier la rondeur ferme du fessier de l’Américaine qui se balançait voluptueusement devant ses yeux. L’excitation commença à le gagner. — Tenez Lizzie, prenez à droite, le service d’oncologie. Lizzie s’exécuta. Ils pénétrèrent dans un long couloir de part et d’autre duquel s’ouvraient les chambres des malades du cancer. En passant devant une porte ouverte, elle écarquilla les yeux. Elle s’arrêta pour mieux voir, et instinctivement se recula un peu pour ne pas être vue. La scène qui se déroulait devant ses yeux était tout simplement incroyable dans un tel lieu. Une femme nue debout à côté d’un lit était en train de pratiquer une fellation à un patient allongé. En regardant ...
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