1. In sexo veritas


    Datte: 01/05/2021, Catégories: grp, facial, Oral pénétratio, sf,

    ... la morphine ont pratiquement disparu des rayons des pharmacies. Les patients se soignent eux-mêmes en se faisant un petit plaisir. La formation des médecins et infirmières a été légèrement modifiée pour intégrer cette nouvelle forme de prise en charge de la douleur. L’effet secondaire de tout cela, c’est que comme nos concitoyens sont désormais épanouis sexuellement, ils ont le moral au beau fixe et ils sont moins malades, ils ont moins d’arrêts de travail et l’économie se porte mieux. Le cercle vertueux, en quelque sorte. Nous avons économisé des milliards d’euros de dépenses de santé, dont nous avons pu réaffecter une partie au financement des retraites.— Donc, plus on fait l’amour, mieux le pays se porte ! Je sens que j’aime de plus en plus la France !— Je ne peux que vous y encourager, chère Lizzie ! Je pense que vous êtes prête maintenant à entrer aux « Soins intensifs ». Il poussa la porte devant laquelle ils s’étaient arrêtés, et fit signe à Lizzie d’entrer. Cette dernière, déjà émue par sa vision précédente, était désormais excitée à l’idée de ce qu’elle pourrait découvrir dans cette salle. Thomas l’avait très bien ressenti, il espérait avec cette ultime étape porter le coup de grâce à ses défenses. Elle entra. Huit lits étaient disposés dans la grande salle. Tous étaient occupés, par cinq femmes et trois hommes. À côté ou sur chacun des lits se tenaient une ou deux infirmières qui s’occupaient d’apporter intensivement des soins à leur patient. Des râles de ...
    ... plaisir se faisaient entendre de tous côtés. — Avancez, Lizzie. Tenez, venez par ici, venez voir ce cas intéressant. Thomas posa sa main sur les reins de la jeune femme et la dirigea vers le deuxième lit. Une patiente était allongée, nue, dans une position très indécente. Une infirmière, nue également, avait la tête enfouie entre les jambes largement écartées. Une autre, dans la même tenue, caressait les seins. Thomas entreprit d’expliquer, sans retirer sa main. — L’intensité des soins dépend de l’intensité de la douleur. Il est parfois nécessaire d’être à deux professionnels pour apporter le réconfort nécessaire. Cela dépend aussi de la sensibilité et des préférences sexuelles du patient. Cette femme, par exemple, doit aimer par-dessus tout le cunnilingus. Mais c’est le cas de beaucoup de femmes, je crois…— En effet, Thomas, cette pratique est particulièrement agréable, répondit Lizzie dont le bas-ventre commençait à sérieusement chauffer.— D’autres préfèrent la stimulation des doigts, comme cette femme là-bas. En disant cela, il fit glisser sa main sur les fesses de l’Américaine, qui presque aussitôt se cambra pour mieux profiter du contact. Thomas avait maintenant une érection qui commençait à devenir douloureuse, comprimée comme elle l’était dans son pantalon de costume. — Vous sentez, Lizzie, l’effet de l’endorphine commencer à se faire sentir ?— Un peu… Vous parliez de formation médicale pour la libérer plus facilement…— En effet, j’ai moi-même suivi un cours de secourisme ...