Prédateurs
Datte: 02/05/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
contrainte,
chaussures,
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
sm,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
... !— Quoi ?— À GENOUX, CHIEN ! Ou je te jure que j’appelle au secours. Je ne sais plus quoi faire. Mes jambes tremblent. J’ai peur, putain… Elle est malade. Lentement je me mets à genoux. Elle s’avance devant moi, hautaine, merveilleuse, démoniaque. — Désape-toi maintenant. Retire ton blouson et ta chemise… Allez, dépêche-toi ! Je m’exécute fébrilement tandis qu’elle fouille son sac à main. Elle en sort une paire de menottes. — Tu vois ces jolis bracelets ? C’est pour toi. Tu vas les mettre.— Marie, écoute…— Tu vas les mettre et tu vas fermer ta gueule… Non pas comme ça, les mains dans le dos… Voilà, c’est bien. Elle sort le téléphone portable de la poche de mon blouson. — C’est quoi, cette merde ? T’as pas d’iPhone ? On va voir si ça prend quand même de jolies photos, ce machin. Le flash m’éblouit, je ferme les yeux. — À qui je pourrais bien envoyer ce cliché, hein ? C’est qui,Bibiche ? Ta conne de femme ?— C’est une collègue… Je t’en prie, Marie, ne fais pas ça.— Pourquoi ? Dis-moi pourquoi je me gênerais, sale pervers !— …— Je t’écoute !— Je ferai ce que tu voudras, Marie. Tout ce que tu voudras. Mais je t’en prie, ne fais pas ça.— Tu feras tout ce que je voudrai, de toute façon. C’est clair, salope ?— Oui…— Oui qui ?— Oui, Marie. Elle me colle une gifle d’une force incroyable. J’ai la joue en feu, et les larmes me montent aux yeux — Oui qui, salope ?— Oui… Maîtresse.— Tu vois, t’es pas si con quand tu veux. Tu es à moi désormais. Tu te rappelles ? C’est ce que j’ai dit à ...
... l’autre crétin avant qu’il crève.— Tu… tu as vraiment fait ça ? Je suis dans une panique complète. Pas moyen de bouger avec ces putains de menottes. Complètement à sa merci. Je tente une dernière feinte. — Écoute, Marie, fais ce que tu veux, j’en ai rien à foutre. Tu peux même envoyer la photo. Mais là, attaché comme je suis, c’est moi qui vais me mettre à crier. Elle éclate de rire… Elle est diaboliquement belle. — Bien joué, répond-elle alors doucement. On te la fait pas, à toi. Tu as de la ressource. J’aime ça… Mais dis-moi, tu as vraiment envie que tout s’arrête déjà maintenant ? En disant ça, elle s’est approchée de moi et a relevé sa robe. Elle me colle sa culotte sous le nez. Elle est trempée. — Respire, petit salaud. Lèche-moi comme ça, à travers la culotte. Je n’en peux plus d’excitation, je lui obéis et la lèche comme un fou. — Tu voudrais lécher ma chatte, hein crapule ?— Oui… oui s’il te plaît. J’ai envie de toi, Marie…— Bien. Elle ôte sa culotte et s’approche à nouveau. Puis elle me prend par les cheveux et l’enfourne dans ma bouche. — Alors comme ça, tu voulais appeler à l’aide ? Tu n’es vraiment qu’un pauvre con pathétique. Tiens, je vais te montrer qui dirige vraiment les opérations… Elle va jusqu’à sa valise et en sort une cravache. Elle sourit en voyant la stupeur au fond de mes yeux et m’assène un premier coup. Putain, ça fait mal ! Je tombe par terre en essayant de hurler, mais mon cri est étouffé par le bâillon. Elle frappe encore, plus fort, sur le dos, ...