Prédateurs
Datte: 02/05/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
contrainte,
chaussures,
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
sm,
attache,
baillon,
gifle,
fouetfesse,
... sur les bras. Je réussis à articuler : — Pitié !— Quoi ? Répète, pauvre larve !— Pitié…— Tu feras tout ce que je voudrai ? Je fais oui de la tête. Elle se penche pour ôter la culotte de ma bouche. — Je te préviens qu’au moindre signe de rébellion de ta part, je recommence. C’est compris ?— Oui…— Oui qui ?— Oui, Maîtresse.— Tu es à moi désormais ?— Oui, Maîtresse.— Dis-le !— Je… suis à toi désormais.— Bien, prouve-le alors. Lèche mes escarpins. Je m’exécute, mais avec les mains dans le dos ce n’est vraiment pas facile. Lorsque ma bouche est presque arrivée à la pointe de sa chaussure, elle recule et je me retrouve à terre, comme un con. — Lécher mes escarpins, ça se mérite, tu entends ? Tu vas ramper un peu, te tortiller comme un ver, compris ?— Oui, Maîtresse.— Et un ver, c’est nu. Totalement nu. Pour l’instant, tu n’es même pas digne de ramper. Retire ton pantalon, connard.— Mais Marie… Comment veux-tu que je fasse, avec les mains dans le dos ?— Je m’en tape complètement. Tu as deux minutes. Sinon, je reprends la cravache. Je me tortille comme je peux et j’arrive tant bien que mal à ôter mon futal et mes pompes. Elle s’est assise sur le lit et a commencé à se caresser la chatte. — C’est bien. Tu apprends vite, finalement. Allez, viens nettoyer mes pompes avec ta langue. Si je suis satisfaite, je m’occuperai de ta queue… ...
... peut-être. J’ignore combien de temps j’ai passé à lécher ses escarpins, entièrement, le dessus, les semelles, les talons, tandis qu’elle se masturbait. — Tu bandes, esclave ?— Évidemment que je bande… Maîtresse.— Montre-moi ça ! C’est ça que tu appelles bander ?— …— Réponds, esclave !— Oui, Maîtresse.— C’est pas terrible. Tu as de la chance que je sois trempée. Il va falloir que je me m’en contente. Je vais venir m’empaler sur ta queue, enfin, sur ton machin… Et je t’interdis de jouir avant moi, c’est compris ?— Oui… Marie… s’il te plaît, je t’en supplie, prends-moi ! Elle vient alors s’asseoir sur moi et commence à prendre son plaisir. Je suis au comble de l’excitation, je sens l’orgasme arriver, impossible de me retenir. J’explose malgré l’interdiction qui m’est faite. — Pardon, Marie… pardon… pardon, Maîtresse.— Pardon de quoi Simon ? Sa voix est à nouveau très douce. — Pardon d’avoir joui avant toi… Elle éclate de rire. — Je t’avais dit que tu perdrais le contrôle.— Hein ?— J’ai gagné. Qu’est-ce que tu croyais ? Je gagne toujours.— Mais… et toi ?— Moi quoi ? Tu es toujours menotté, la nuit ne fait que commencer, et tu es à moi désormais. N’est-ce pas ?— Oui, Marie.— Dis-le !— Je suis à toi, Marie.— Bien. Alors on va recommencer. Viens me lécher la chatte, petit pervers… Elle avait raison : la nuit ne faisait que commencer.