Maria-Consuela, la Colombienne
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
volupté,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
fsodo,
init,
... fantasia qui aspergea toute la salle de bain, je m’agrippai à ses hanches pour entamer un va-et-vient entre ses fesses qui faillit bien lui être fatal : elle finit la tête sous l’eau, soufflant dans l’eau du bain, la ressortant en suffoquant, en toussant, en crachant. Le plaisir qui venait de nous surprendre avait été encore plus intense, plus foudroyant que tous ceux que nous avions pu connaître ensemble. Maria-Consuela, qui venait de m’offrir un magnifique cadeau, devint une adepte de cette pratique qui allait compléter à merveille notre panoplie du plaisir. Jamais plus une séance d’amour ne pourrait se terminer sans passer par une sodomie qui nous laissait l’un et l’autre hors d’haleine et épuisé. Une pratique qui était aussi complétée par une préparation au cours de nos séances de tête-bêche par une longue et profonde feuille de rose qui déclenchait de longs spasmes. Cette nouvelle caresse buccale m’offrait le plaisir d’entrer dans son intimité, d’en respirer les odeurs fauves et d’exercer la maniabilité de ma langue. De Venise, nous ne vîmes pas grand-chose. Les murs du Danieli, par contre, se souviendront encore longtemps de nos cris de jouissances. Le matelas, de nos soupirs et halètements d’amour, quant à la baignoire, heureusement que ses rebords étaient en marbre tant Maria-Consuela cherchait à y enfoncer ses dents et ses ongles pour étouffer ses feulements de plaisir. J’étais persuadé alors, qu’une fois rentré à Paris, notre vie prendrait une nouvelle tournure. ...
... Je proposais même à Maria-Consuela de venir habiter chez moi, d’abandonner son gourbi pour accéder à un logement digne de ce nom. J’espérais aussi que les instants passés à Venise à déambuler serrés l’un contre l’autre, à se bécoter à tout moment, à partager nos assiettes et nos plats, tout cela pourrait se prolonger dans notre vie quotidienne. Malheureusement dès notre descente de train, Maria-Consuela reprit immédiatement ses quelques « mauvaises habitudes » : marcher à un pas derrière moi, crisper sa main dès que j’approchais la mienne, éviter de m’embrasser en public, sauf rapidement et en rougissant. Elle n’avait pas toujours pas accepté de venir vivre avec moi et se sauvait systématiquement et rapidement après nos longues et épuisantes séances d’amour. Seul acquis de Venise, des séances d’amour qui se terminaient maintenant par une profonde sodomie en souvenir du Danieli. Depuis notre retour de Venise, j’avais tout tenté pour l’inciter à changer de mode de vie. Mais à Paris, Maria-Consuela restait un animal sauvage, sur la défensive. Pourtant elle faisait de sérieux efforts pour se « civiliser ». Elle avait fini, par exemple, par accepter quelques-uns de mes amis chez qui nous pûmes passer des soirées agréables ou quelques week-ends formidables. Mais là aussi, malgré la présence de couples, Maria-Consuela ne se comportait jamais avec moi en « couple ». Cela étonnait certaines femmes de mon entourage qui avaient tenté de la raisonner, en vain. Lorsque, par chance nous ...