Maria-Consuela, la Colombienne
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
volupté,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
fsodo,
init,
... saillantes, mettait en relief ses yeux très noirs. La bouche un peu lippue était surmontée d’un nez droit et régulier. Le menton, légèrement pointu marquait une légère fossette entre la lèvre et le menton. Les sourcils, drus et rectilignes, avaient toujours tendance à être froncés. Chez elle c’était à la fois signe d’une grande attention, de concentration, mais aussi d’une constante méfiance. Maria-Consuela était grande sans être une géante et son corps, bien proportionné, attirait certainement encore plus l’œil que son visage. Sa poitrine, avenante, ses jambes légèrement dodues comme ses fesses. Maria-Consuela était un animal farouche, perdue dans une jungle qu’elle ne connaissait pas et dont elle pratiquait avec difficulté la langue. Je l’ai vu défendre son intégrité physique avec suffisamment de hargne pour m’éviter de me faire rabrouer en la bousculant. Farouche, mais efficace, Maria-Consuela savait se défendre vis-à-vis des hommes. Animal écorché vif, elle a mis du temps avant de m’adopter, me faire confiance. Elle a mis du temps avant d’accepter un dîner, en tête-à-tête. Et quand enfin, après des mois d’attentes et d’espoir elle a accepté, je crois bien m’être comporté comme un gamin, comme un jeune adolescent : sautant de joie, battant des mains. Pourtant ce n’était qu’un dîner, un simple dîner. Je me souviens être passé la chercher en taxi pour la conduire au pied de la Tour Eiffel. Elle sortait de son bouge, vêtue d’une simple robe noire, d’un chemisier blanc et ...
... avait remonté ses cheveux en un chignon qui formait une sorte de huppe au-dessus de sa tête. Un léger maquillage faisait reluire ses yeux noirs et accentuait le cuivré de sa peau. Quand elle est montée dans le taxi, le chauffeur, qui nous guettait dans son rétroviseur, n’a pu retenir un sifflement d’admiration. Au restaurant, lorsqu’elle a traversé la salle, les conversations ont cessé sur son passage et nombreux furent les regards d’hommes et de femmes qui la suivirent et la détaillèrent par-devant et par derrière. Sa simplicité était tellement naturelle qu’elle en était majestueuse. Ce repas fut le premier d’une longue série qui devait immanquablement amener Maria-Consuela jusque dans ma chambre. Ce soir-là, j’avais décidé de lui faire connaître un haut lieu de la gastronomie et de la haute société parisienne et j’avais retenu une table à la Brasserie Lipp. Le repas avait été parfait. Maria-Consuela avait été particulièrement impressionnée par les convives qui nous entouraient. Bon nombre d’entre eux ne cessaient de lorgner dans son décolleté. À cette occasion, elle étrennait une petite robe bleu turquoise que nous avions choisie ensemble et qui lui allait à ravir. Est ce que c’était l’effet de l’ambiance ou celles des bulles de champagne ? En sortant de la Brasserie, elle s’est pelotonnée contre moi et dans un chaud élan de générosité, elle m’a offert ses lèvres. Là, au pied du clocher de Saint-Germain-des-Prés, au milieu des passants qui nous évitaient, mais nous jetaient un ...