Maria-Consuela, la Colombienne
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
volupté,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
fsodo,
init,
Il y a maintenant près de trois ans que j’ai rencontré Maria-Consuela. À cette époque, je cherchais un traducteur pour un important rapport officiel que je devais diffuser dans plusieurs pays d’Amérique du Sud. Un ami, une de ces relations qui ont toujours sous la main « le bon plan de secours, jolie et pas cher », m’avait alors indiqué qu’une de ses voisines était colombienne et qu’elle se chargerait certainement de ce travail. C’est même lui qui m’avait pris rendez-vous, avec diligence et empressement, auprès de Maria-Consuela. Elle vivait dans un tout petit studio, en fond de cours. Pas de fenêtre, une atmosphère lugubre, oppressante et surchargée d’humidité. L’inconfort et l’exiguïté des lieux m’avaient tellement effrayé que nous fixions nos rendez-vous dans un bar, non loin de là. Au début, nos rapports furent froids et teintés d’une grande méfiance de sa part. Avant qu’un rapport de confiance ne s’instaure entre nous, j’ai dû faire montre d’une grande patience. La jeune femme était farouche, toujours sur la défensive, prête à mordre et à bondir au moindre soupçon, à la moindre équivoque. Oui, il a nécessité du temps pour apprivoiser cette jeune femme, lui faire comprendre que tous les hommes n’en voulaient pas qu’à ces magnifiques yeux noirs. Ainsi, plusieurs semaines et de nombreux rendez-vous de travail furent-ils nécessaire pour qu’enfin, elle se décide à se laisser aller. Faut-il vous le préciser : Maria-Consuela arrivait alors directement de Colombie. Elle était ...
... orpheline depuis quelque temps et avait eu le malheur de vivre l’assassinat de sa famille, sous ses yeux, quelques semaines plus tôt. C’était un miracle qu’elle ait échappé aux tueurs. La fuite de son pays était principalement due au fait que, seule témoin de cette sauvage exécution, le groupe de tueurs était maintenant à sa recherche pour la faire taire à son tour. Par l’intermédiaire d’une filière de religieuses, elle était arrivée à Paris où elle avait demandé l’asile politique à la France. En attendant, elle vivait d’expédients, de petits boulots. Voilà pourquoi elle avait accepté de se charger de la traduction de mon travail. Elle m’a raconté cette histoire, une seule fois et n’y est ensuite jamais revenue. Par discrétion autant que par malaise, je ne l’ai jamais forcé, par la suite, à revenir sur ses douloureuses images. Mais ses yeux se voilaient souvent d’une sorte de tristesse poignante, mais digne. Dès notre première rencontre, j’avais aimé le contact de cette jeune femme, sa façon de se déplacer, de se mouvoir, de regarder autour d’elle. J’admirais aussi cette forme de dignité caractéristique de nombreuses femmes latines. Tout cela m’avait ému. Comme m’avait ému sa beauté. Pourtant, n’allez pas imaginer que c’était un top-modèle ou une future candidate à une quelconque élection de Miss Monde ou Miss Univers. Non. Maria-Consuela était plutôt jolie que belle. Les cheveux noir jais lui balayaient en permanence les épaules. Son visage, régulier, aux pommettes légèrement ...