1. Agnès


    Datte: 05/05/2021, Catégories: ff, vacances, piscine, école, amour, Oral 69, confession, Lesbienne

    ... autre dimension. La réalité n’était plus tout à fait réelle. Il me semble que nous nous sommes embrassées, caressées, masturbées de toutes les manières possibles puis vint le moment où Agnès se glissa vers le fond du lit pour placer sa bouche sur mon sexe. Des vagues de bien-être partirent alors de mon ventre pour m’envahir complètement et je crois bien avoir laissé échapper un bruyant soupir d’aise. Ses mains vinrent bientôt s’occuper de mes seins ce qui augmenta encore l’excitation que me procurait sa bouche. Quelques minutes plus tard, elle changea de position et je compris qu’elle voulait se mettre tête-bêche sur moi. Je regardai son sexe quelques secondes avant d’y poser mes lèvres et d’y activer ma langue et je remarquai qu’il était épilé de frais. L’attention me toucha et je regrettai de ne pas en avoir fait autant. Je me promis d’y veiller à dater ce jour. Elle était au-dessus de moi, en plus du cunnilingus, je sentais qu’elle me caressait les pieds ce qui me plaisait beaucoup. Mes mains n’étaient pas inactives non plus et, du bout des doigts, j’effleurais toutes les parties de son corps que je pouvais atteindre – de ses omoplates à ses chevilles – m’attardant sur le creux de ses reins, les plis de ses genoux et sa raie. Au fur et à mesure que l’excitation montait, nos caresses devinrent plus appuyées et finirent en véritable massage. Je sentais ses doigts entre mes orteils et je pétrissais ses fesses. Comme la veille, nous avons joui en même temps. Nous sommes ...
    ... restées ensuite de longues minutes à échanger des marques de tendresse. Comme la veille, c’est l’arrivée de sa mère qui rompit le charme mais cette fois cela ne provoqua nulle panique en moi. Les jours suivants ressemblèrent à celui-ci. Nous-nous retrouvions dès que nous pouvions. Nous passions de longs moments à discuter et en fin d’après-midi nous allions chez elle. Nous sommes retournées plusieurs fois à la piscine. Nous ne nous contentions pas de barboter, elle m’a vraiment fait progresser. Nous y allions avant ses séances d’entraînement. Je partais quand les autres membres du club arrivaient et que le travail commençait. En soirée elle me téléphonait chez moi. Nous évitions soigneusement toute provocation et restions toujours discrètes mais ne cherchions jamais non plus à nous dissimuler. À côté des moments que je passais avec elle, ma vie continuait. Au lycée l’esclandre avait fait jaser un peu mais tout s’était tassé en quelques jours. Je ne fréquentais plus qu’Agnès ; les autres – ceux d’avant – ne me manquaient absolument pas. Au sein de ma famille, où rien n’avait filtré de cette histoire, mon changement de comportement avait été remarqué. Je n’ai pas menti disant que je m’étais engueulée avec mes copines mais que je m’étais fait une nouvelle amie. Quand nous étions chez moi, Agnès, compréhensive, veillait à ce que rien n’éveille les soupçons quant à ce qui se passait réellement entre nous. Le travail en commun pour préparer le bac avait bon dos. Je m’étais imaginé que ce ...
«12...101112...18»