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Agnès
Datte: 05/05/2021, Catégories: ff, vacances, piscine, école, amour, Oral 69, confession, Lesbienne
... la saison. Cette nuit-là fut une succession de moments tendres et de moments torrides. Nous devenions de plus en plus impudiques : — Je voudrais que nos clitos se touchent, m’a dit Agnès alors que je lui faisais un cunnilingus très appliqué. L’idée me plaisait beaucoup mais manquant encore d’expérience, je la laissais prendre l’initiative. Elle s’assit au milieu du lit, penchée en arrière, en appui sur les bras, les jambes allongées et largement écartées. — Viens en face de moi, mets-toi comme ça. Je le fis sans hésiter. Me tenant le pied, elle glissa sa jambe droite sous ma jambe gauche puis, inversement, elle passa sa jambe gauche au-dessus de ma jambe droite. — Approche ! Je me glissai jusqu’à elle. Elle se tenait la vulve pour que son clitoris entre précisément en contact avec le mien. De la main, j’écartai mes petites lèvres pour qu’il lui soit bien offert. Ce que j’ai éprouvé au moment du contact me fit râler d’excitation tant c’était fort. Mon corps entier me semblait vibrer à cette sensation. Nous nous sommes enlacées pour un baiser qui fut bref car elle préféra que ne nous nous replacions en arrière, en appui sur les bras pour accentuer la pression entre nos sexes et faciliter les mouvements de nos bassins. Voir ainsi nos sexes – totalement épilés – l’un contre l’autre ; regarder le visage si expressif d’Agnès ; remarquer la transpiration qui commençait à apparaître sur nos corps ; sentir les mouvements de nos bassins… Tout cela créait des sensations nouvelles pour ...
... moi. Nouvelles et incroyablement excitantes. À cause de l’amplitude croissante de nos mouvements, nos sexes frottaient surtout l’intérieur de nos cuisses. J’ai adoré ce double contact très humide. Agnès, sportive, semblait pouvoir tenir indéfiniment cette position. J’ai vite eu mal aux bras et je dus me mettre sur les coudes puis sur le dos. Elle se releva pour finir à genoux, nos entrejambes semblaient faits pour s’emboîter l’un dans l’autre. Je ne voulais pas quitter des yeux son corps musclé qui poussait son entrecuisse contre le mien. L’orgasme, simultané, fut tellement puissant qu’il me fallut quelques minutes pour retrouver mes esprits. Je me dégageai des jambes d’Agnès qui était retombée sur le dos pantelante et je l’enlaçai. — Je n’ai jamais ressenti autant de plaisir, lui dis-je. Elle me sourit et nous nous sommes laissées envahir par le sommeil dans les bras l’une de l’autre les jambes à nouveau intimement entremêlées. Le dimanche nous nous éveillâmes en même temps. Agnès m’a demandé de rester au lit le temps pour elle d’aller préparer le petit déjeuner. Elle revint avec un plateau bien garni. Une fois le café et les toasts avalés nous avons fait l’amour. C’est dans la position du soixante-neuf que nous avons joui. Ensuite, nous avons consacré quelques heures aux études. Le midi nous avons fini les provisions avant de refaire le lit avec des draps propres qu’Agnès avait apportés. Nous sommes allées faire une petite ballade en amoureuses sur le front de mer et manger ...