Agnès
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
ff,
vacances,
piscine,
école,
amour,
Oral
69,
confession,
Lesbienne
... adossée à une pile de cousins. Comme la première fois, je m’assis au bord mais c’était un peu moins confortable car je devais me tourner pour lui faire face. Nous avons encore parlé de choses et d’autres mais sur un registre de plus en plus intime. Nous nous sommes complimentées mutuellement sur nos corps. J’aimais sa finesse et elle aimait mes formes. La séance de natation avait dû me fatiguer plus que je ne le pensais et ma nuque s’ankylosait à force de lui parler la tête tournée. Je changeai de position, quittai moi aussi mes chaussures et m’assis en tailleur au milieu du lit, face à elle. Nous avons parlé coupe de cheveux. Elle me dit, comme je l’avais pensé, que les cheveux courts étaient plus pratiques quand on nage tous les jours. Au bout d’un moment, c’est aux hanches que j’eus mal et je me rassis au bord du lit. Elle vint alors s’asseoir à ma gauche. Le regard que nous avons échangé à ce moment rendait toute parole inutile. Nous en avions envie toutes les deux ; nous-nous sommes embrassées pour la première fois. De la position assise, nous sommes passées à la position allongée. Nos mains exploraient nos corps et se glissèrent rapidement sous nos vêtements. Chacune à son tour dégrafa le soutien-gorge de l’autre. Son corps ferme me plaisait beaucoup. Je sentais ses muscles sous sa peau fine. Caresser ses seins me donnait des sensations nouvelles. Ils étaient plus petits et plus fermes que les miens, leur mamelon était cependant beaucoup plus gros. Je relevai son ...
... tee-shirt pour pouvoir en prendre un en bouche. Il était de la taille d’une petite framboise. Je l’entendis soupirer d’aise. Quand mes lèvres cherchèrent à nouveau sa bouche, sa main se glissa facilement dans mon pantalon de jogging puis dans ma culotte. Je remontai et écartai mes cuisses pour offrir mon sexe à ses doigts. Dans le même temps j’essayais, sans succès, de glisser une main dans son jean. Je devais le déboutonner et, dans l’excitation du moment, je n’y arrivais pas. Elle se leva et ôta son jean et sa culotte. J’en fis de même alors qu’elle s’agenouillait au milieu de son lit, les fesses sur les talons, les cuisses largement ouvertes. Je pris la même position en face d’elle. Chacune passa son bras gauche autour du cou de l’autre et, alors que nous échangions un nouveau baiser passionné, nous avons commencé à nous caresser mutuellement le sexe. Nous n’avons interrompu nos masturbations réciproques que quelques secondes pour finir d’ôter nos tee-shirts et nos soutiens-gorge. L’orgasme monta puissamment et simultanément. D’instinct, nous-nous sommes relevées sur les genoux pour que nos corps se frottent l’un contre l’autre, que nos poitrines s’écrasent mutuellement, que nos cuisses se croisent. Je sentis un de ses doigts me pénétrer, j’en fis autant et c’est ainsi que nous avons joui, attendant, serrées l’une contre l’autre, le reflux de la vague de plaisir qui venait de nous submerger. Nos corps se détendirent mais nous sommes restées un moment enlacées, retombant ...