1. Juste une parenthèse dans notre vie


    Datte: 05/11/2017, Catégories: fh, extracon, entreseins, Oral pénétratio, fsodo,

    ... bras, du genou, du pied même, en enlevant une de ses mules. Tout son corps disait le plaisir qu’il avait pris, et ses yeux sa reconnaissance. Ce matin-là, j’étais le roi de la ville, son impudeur paisible a réveillé mes sens et nous sommes remontés à l’appartement. Je voulais la posséder de partout. Sa première pipe, elle me l’a faite à genoux sur mon tapis de lit, et moi assis devant elle, la main sur sa nuque pour rythmer son mouvement. Je ne sais pas pourquoi j’avais eu envie de cette position, qui la rabaissait à une simple bouche prise par un sexe. Elle s’est méprise sur la signification de ma demande, elle a cru que je la trouvais maladroite, que j’avais agi ainsi parce qu’elle suçait mal. Je l’ai compris quand elle m’a demandé comment faire, en me regardant comme si j’avais eu cent reines des pipes avant elle. Son désarroi m’a touché au plus profond. J’ai embrassé sa bouche qui venait d’avaler mon sperme, et je l’ai rassurée en disant que c’était juste un fantasme subit, que la prochaine fois, je me coucherais sur le dos et la laisserais faire. Très vite aussi, je l’ai sodomisée. Je n’avais pas de gel, j’ai lentement écarté les parois de son anus, d’abord avec ma langue, puis avec mes doigts. J’ai été surpris qu’il ait goût de savon. Elle m’a dit après, qu’elle se doutait de ce qui allait se passer, après que j’avais introduit un doigt dans son anus la fois précédente où nous avions fait l’amour, pour sentir ses contractions pendant son orgasme. Alors, discrètement, ...
    ... elle s’était lavée juste avant que nous ne nous remettions au lit. La pénétration a été aisée, elle était parfaitement détendue, à la fois dans son corps et dans sa tête. Comme elle était en levrette, je caressais son clitoris en même temps que je la sodomisais, elle était étroite. Pour une fois, j’ai joui avant elle, et elle juste après, comme si elle avait attendu mon plaisir. Elle m’a dit ensuite, que Luc ne l’avait pas sodomisée depuis des années. Un matin, j’ai ouvert son anus avec de la salive et mes doigts pendant que je lui faisais l’amour. Quand elle a joui, je me suis retiré d’elle, et suis aussitôt revenu, juste un peu plus haut, en la pénétrant par paliers au rythme des contractions de son anus. J’ai sans doute été trop brusque, elle a crié. Je lui ai demandé si elle avait mal. Elle m’a répondu de continuer, mais ensuite, dans la journée, mon sexe était douloureux. Je lui ai envoyé un SMS très sexe, en lui disant que j’espérais que son anus lui rappelait, au travail, que j’étais passé par-là quelques heures plus tôt. Elle m’a répondu sur le même ton, disant qu’elle aimait sentir en elle la marque laissée par mon sexe. Nous étions comme ivres de ce désir, de ce plaisir. Tous les soirs, elle passait chez elle, pour se changer en prévision du lendemain et sans doute pour téléphoner à son mari. Mais de Luc, elle ne m’a jamais parlé pendant cette semaine. Le reste du temps, elle était à moi. La journée, nous communiquions par SMS, comme deux ados. J’en ai profité une ...
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