1. Juste une parenthèse dans notre vie


    Datte: 05/11/2017, Catégories: fh, extracon, entreseins, Oral pénétratio, fsodo,

    ... fois pour l’inviter à déjeuner. En fait, j’avais réservé une chambre d’hôtel pas loin de son travail. Je l’y ai emmenée directement, sans le lui dire. Elle ne s’en est pas offusquée, au contraire, ça l’a fait rire. Elle s’inquiétait juste d’avoir bien assumé son statut de femme adultère devant le réceptionniste, car c’était la première fois qu’elle allait à l’hôtel entre midi et deux. Une autre fois, elle sentait si fort l’amour le matin que je lui ai demandé d’aller au travail sans prendre de douche. J’ai même plongé plusieurs fois mon doigt dans son vagin, pour le lui passer méthodiquement sur la lèvre supérieure, entre les seins, derrière les lobes des oreilles, sur le pli du cou, sur la face intérieure du poignet. Partout, là où une femme met du parfum. Je lui ai dit que je voulais qu’elle porte toute la journée l’odeur de notre amour. Elle est partie ainsi. Le soir, nous sommes allés directement dîner dans un restaurant et elle m’a avoué qu’elle avait passé une journée atroce, qu’à chaque fois qu’elle faisait la bise à quelqu’un, elle craignait qu’il ne détecte cette odeur révélatrice. Je l’ai embrassée par-dessus la table en lui disant qu’elle sentait bon. Elle s’est alors levée, est partie aux toilettes, puis a glissé quelque chose dans ma poche en revenant s’asseoir. J’ai mis la main dans ma poche, et réalisé qu’il s’agissait de son slip : elle était sexe à l’air devant moi ! J’ai porté son slip vers mon nez, en le serrant dans ma main comme si c’était un mouchoir. ...
    ... Son odeur était enivrante. Nous avions perdu tout repère, tout contrôle, tout tabou, au point d’oublier même le décompte des jours. Elle me l’a rappelé le jeudi soir, veille de son départ. Elle m’a demandé de ne pas l’accompagner à Orly. Elle avait raison. Elle repartait dans son autre vie, sa vraie vie. Son mari et ses enfants l’attendraient à l’arrivée et elle avait besoin de cette journée de vendredi pour se remettre dans sa peau d’épouse. La parenthèse était refermée. Je n’ai pas mal vécu son départ. Le week-end a été calme, les jours suivants aussi. Je travaillais, je n’avais pas envie de voir du monde. Le souvenir précis de cette semaine passée ensemble, de cette folie sexuelle qui nous avait saisis, me suffisait. Je me caressais tous les soirs en pensant à elle, à son corps pendant l’amour. Et moi aussi, je me préparais à reprendre ma vie. Ma fille m’attendait le premier août, j’allais la chercher à Biarritz, pour remonter au Cap-Ferrat, passer trois semaines dans une maison louée avec des amis. J’ai été surpris de recevoir un SMS de Muriel, juste avant mon départ. Il était bref :« Merci de m’avoir fait redevenir une femme. Je pense à toi ». Je n’ai pas répondu. Lâchement, je m’étais senti coupable envers Luc, après coup, bien sûr. Il ne m’avait jamais rien fait de mal, au contraire, j’avais apprécié sa sollicitude après le départ de Christine. Il croyait que j’étais son ami et derrière son dos, comme un salaud, j’avais tout fait pendant des mois pour séduire sa femme, ...