Juste une parenthèse dans notre vie
Datte: 05/11/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... rose non plus dans son couple depuis la naissance de leurs enfants. Jamais plus, Luc ne l’avait emmenée en week-end en amoureux, rien que tous les deux. Ils ne faisaient jamais plus l’amour le matin, car Luc aimait que leurs enfants, au réveil, viennent les rejoindre dans leur lit. Elle a fini par m’avouer qu’ils ne faisaient plus beaucoup l’amour, que Luc la désirait moins qu’avant, et qu’elle en souffrait. Exactement ce que je voulais entendre. Sans qu’elle s’en rende compte, elle me donnait les clefs pour la séduire. Deuxième volet du plan : l’art moderne, le mobilier contemporain. Ces deux sujets la passionnaient. Pas Luc, je ne l’ai jamais entendu parler, dans l’ordre, que des enfants, de son métier, de politique et de rugby… J’avais quelques vagues connaissances en art moderne. J’ai pioché le sujet, commencé à courir les galeries, de sorte que Muriel a découvert, avec ravissement, que nous avions une passion commune, et qu’elle pouvait enfin discuter d’art avec quelqu’un… La suite n’a pas été longue à venir. Quand je lui parlais des galeries que j’avais visité, des artistes que j’avais découvert, elle me disait combien elle regrettait de ne plus aller dans les expositions car Luc ne voulait jamais l’y accompagner. Et elle a franchi le pas, comme je m’y attendais : — Ça serait sympa si on allait visiter une galerie ensemble— Avec plaisir. Mais n’en parle pas à Luc. Il pourrait le prendre mal, imaginer je ne sais quoi. On peut y aller un de ces jours si tu veux, entre ...
... midi et deux. Elle a mordu à l’hameçon en me répondant qu’effectivement, Luc n’avait pas besoin de le savoir, et que de toutes manières nous ne faisions rien de mal. Ainsi, nous avons commencé à nous voir en secret. Tout à fait innocemment dans son esprit, n’empêche qu’elle avait fait une première entorse à son mariage, en le cachant à Luc. Je pouvais enfin la rencontrer seule. Nous partagions un autre secret, et c’était le troisième volet du plan. Même si je prenais soin de rester avec elle dans le domaine de l’amitié intime, je voulais quand même qu’elle sache que j’étais un homme de chair et de sang, pas un charmant compagnon asexué. J’ai eu des brèves histoires avec deux de ses amies, libres, et rencontrées chez elle lors de dîners. Je ne les désirais pas vraiment. Je n’avais que Muriel en tête et je leur avais fait l’amour en pensant à elle. Mon plaisir m’importait peu. Je me souciais uniquement du leur : longs préliminaires, nuits très sexe, amour le matin au réveil. Puis, après trois ou quatre nuits passées ensemble, je les quittais, en leur disant que j’avais beaucoup aimé les moments que nous avions partagés, mais qu’elles étaient venues trop tôt dans ma vie, que la blessure de mon divorce était encore ouverte, que j’étais désolé… J’espérais qu’elles allaient en retour se confier à Muriel, lui dire que j’étais un bon amant, exciter sa curiosité à mon égard. Ça n’a pas manqué. Nous avions pris l’habitude de déjeuner ensemble une fois par semaine, après avoir visité une ...