29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... sérieusement la chauffer où je pense, sans compter ses seins. Ma tigresse et moi nous abstenons de toute conversation devant ce témoin. Je m’arrête à la pharmacie et y envoie Gwendoline. Au moins cela évitera les échauffourées. Arrivé dans ma rue, je me gare quand je trouve une place, et rend les clefs de la voiture à sa légitime propriétaire. Gwendoline et moi nous dirigeons vers la maison qui est à une centaine de mètres. Arrivés à la porte, je m’étonne de ne pas avoir vu la voiture nous dépasser, la rue est en sens unique. Je m’inquiète malgré moi. Je ne peux m’empêcher de retourner voir ce qui se passe nonobstant les remontrances de ma chérie. J’arrive à la voiture qui n’a pas bougé. Son occupante est effondrée en larmes. Je ne la vois pas conduire dans cet état. Je reprends le volant, m’arrête devant Gwendoline, pour lui dire que je reconduis Carole qui en est incapable. Elle se prépare à protester, mais en voyant la pauvre chose sanglotante à côté de moi, elle accepte. Carole est incapable de parler. Je fouille dans ses affaires et trouve son adresse. Ce n’est pas à côté, mais ce n’est pas trop loin. Je tente de la consoler un peu en lui disant qu’avec la crème cela va aller mieux. Je n’ai pas l’impression qu’elle m’entend, mais je continue quand même à causer. Brusquement elle lance : — Il m’a menti ! Il m’a toujours menti. Je n’ai pas besoin de demander qui. — Il disait qu’il n’avait jamais eu d’assistante comme moi, aussi efficace, organisée, prévoyante…— Ce doit ...
... être vrai, sinon il ne t’aurait pas gardée à ce poste.— Et quand il me disait qu’il n’avait jamais trompé sa femme, que s’il n’avait pas rencontré quelqu’un d’aussi rare que moi, cela ne serait jamais arrivé. C’était vrai, peut-être ? En résumé, il lui a beurré le moule, pour pouvoir lui bourrer la moule. — Le salaud, le salaud… « Brûle ce que tu as adoré ». Mais laissons de côté la Bible, ce n’est pas le moment. Les larmes sont reparties. Heureusement nous arrivons. Je me gare. Je suis obligé de la soutenir pour la faire avancer. Elle habite au cinquième, Dieu merci avec ascenseur. Je la fais rentrer chez elle. Elle m’inquiète un peu. Elle est en pleine crise de désespoir. Il faut la calmer. Lui parler ne serait pas d’une grande utilité visiblement, lui coller une paire de claques ne me paraît pas non plus une bonne idée (Gwendoline a déjà donné), donc je la traîne dans la salle de bains. Après lui avoir retiré le peu de vêtements qu’elle porte encore, je la flanque sous la douche… froide. Je peux en témoigner, car je suis abondamment aspergé. Avec la chaleur ambiante, le contraste est saisissant. Elle est tétanisée. Je l’enveloppe dans son peignoir et la ramène dans sa chambre. Elle s’écroule sur son lit, l’air absent. Ce qu’elle a appris de son patron si « extraordinaire » et le traitement de Gwendoline l’ont brisée. Je vais me sécher dans la salle de bains, et quand je reviens elle dort. C’est ce qu’elle a de mieux à faire. En voyant son bas-ventre, le haut de ses cuisses et ...