1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... tout son entrejambe, rouge avec des cloques, je pense qu’il faudrait qu’elle se mette de la crème. J’hésite à la réveiller. Je la secoue un peu, sans effet. Bon, je vais le faire moi-même. Je prends le tube et lui écarte les jambes. Pfiou, elle n’a pas fait semblant ma vindicative amie. Je tartine toute la zone avec la pommade, y compris entre ses lèvres. Cela ne la réveille même pas. Dans les jours à venir je crois que faire ses petits besoins sera une opération délicate. D’ailleurs les jours à venir vont lui être assez pénibles, et pas que pour ça. Je la couvre du drap, je vais enfin pouvoir rentrer. Merde l’heure du dernier métro est passée. Je ne me sens pas le courage de rentrer à pied, ni de courir après un taxi. J’emprunterai donc la voiture de la dormeuse. Je lui laisse un petit mot et repars vers chez moi. Sur le chemin, je pense que j’ai de la chance d’être tombé sur de faux durs et d’avoir pu m’en débarrasser sans trop de mal. De la chance que Gwendoline ait pu retenir la fille et compris que l’agression était ciblée. De la chance encore que les demi-sœurs aient vidé leur sac. Enfin, dans ce dernier cas, les arguments énergiques de ma tigresse préférée ont été déterminants. Ce qui m’estomaque, c’est l’attitude de Pierre Saint Lescure. Je reconnais que la situation n’est pas classique. Mais primo, il ignore tout en ce qui concerne Anne et secundo, question gaudriole, il est plutôt mal placé pour donner des leçons de morale aux autres. Quand j’arrive à la maison, ...
    ... ces demoiselles sont sur le pont, fumantes d’indignation. Je leur fais remarquer qu’il est un peu tard pour les grandes discussions et décisions. Elles veulent bien en convenir. Je m’endors comme une masse, Gwendoline à mes côtés. Pour la sortie romantique à deux c’est raté. J’espère que la prochaine sera plus calme. Inutile de dire quel est le sujet de conversation du petit déjeuner. Le plus drôle est que c’est moi qui joue les modérateurs. Tandis que Gwendoline part chez elle – mais est-ce encore chez elle ? – pour voir sa mère, Dominique et moi partons pour le travail. Nous prenons la voiture que j’ai « empruntée » hier pour la ramener à sa légitime propriétaire. Comme nous sommes partis largement en avance, je décide de lui rendre les clefs en mains propres. Nous montons. Je sonne. Pas de réponse. Je re-sonne. Rien. Elle a dû partir travailler. Nous allons en faire autant quand la porte s’ouvre. Carole est surprise de nous découvrir, mais s’efface pour nous laisser entrer. Dominique lance : — Comme vous n’ouvriez pas, nous avons pensé que vous étiez partie au travail. Les yeux de notre hôtesse flamboient : — Je n’y retournerai jamais. Je m’empresse de changer de sujet et lui rend ses clefs en lui expliquant le pourquoi de mon emprunt et où est garée sa voiture. Comme nous nous préparons à partir, elle me retient par le bras : — Je suis contente qu’hier ça n’ait pas marché. Je suis désolée. Elle éclate en sanglot. — Je suis désolée. Je n’aurais jamais dû. Je n’avais pas à ...
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