1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... dévouée corps et âme. Je ferais mieux de dire corps et cul. Il ne faut pas être devin pour se rendre compte que vous baisez, n’est-ce pas ?— Ce n’est pas un crime.— Non, quoique je te rappelle que ton cher patron est marié. Au fait, fais-tu partie de celles qui se sont fait mettre un polichinelle dans le tiroir ?— Quoi ?— Apparemment pas. Et il ne t’a pas dit qu’il avait mise en cloque trois de ses secrét… pardon, de ses assistantes de direction, dont une deux fois ?— Ce n’est pas possible.— Si, si, c’est possible. Tss, tss, c’est un petit cachottier.— Ce n’est pas vrai ! Tu mens. Elle se jette sur Gwendoline qui s’était trop rapprochée. Je les sépare et rattache les mains dans le dos de notre trop vindicative assistante de direction. Elle y est allé de bon cœur, ma chérie porte de belles traces de griffures sur les bras. Gwendoline lance : — Je te jure que c’est vrai. Tu n’es pas la première qui se fait sauter par mon cher papa. Remarque, il faut reconnaître une chose, il a plutôt bon goût, parce que tu es plutôt pas mal foutue. Et en plus il doit avoir du flair pour sentir les assistantes qui ont le feu au cul. J’abrège : — On ne va pas passer la nuit la dessus. Il est temps de rentrer. Je vais chercher la voiture. A mon retour je découvre ma chérie penchée sur l’assistante de direction (très) personnelle de son père. Je descends en vitesse. Elle se relève et s’éloigne. L’autre est de nouveau bâillonnée. — Que ce passe-t-il ici ? Gwendoline ne répond pas. J’enlève le ...
    ... bâillon. D’une voix hachée l’autre se montre plus loquace : — Elle m’a frottée avec des orties. C’est pas vrai ! — Qu’est-ce qui t’as pris ?— Elle m’a griffée. Au moins elle a le feu au cul pour quelque chose. Et je crois que là son cher patron ne pourra pas l’apaiser…— Ça va. C’était inutile. On ne peut pas te laisser seule.— Mais…— Elle avait parlé. Bon nous n’avons plus de raison de traîner. Nous allons rentrer. Je crois me rappeler qu’il y a une pharmacie qui reste ouverte tard porte de Vincennes. Nous nous y arrêterons pour acheter une crème apaisante pour elle et du désinfectant pour tes griffures.— J’ai de l’eau de Cologne dans la boîte à gants de ma voiture, pour désinfecter. Pas rancunière, la donzelle. Je vais la chercher. J’imbibe un mouchoir et le passe sur les bras de Gwendoline qui grimace quelque peu. Tandis que je vais ramasser la lampe électrique, j’entends Carole glapir. Je me retourne pour voir Gwendoline lui frotter l’entrejambe avec le mouchoir trempé d’eau de Cologne. Je l’arrête. — Qu’est-ce qui te prend.— C’est pour la rafraîchir.— Pas avec de l’alcool. Ça va être pire. Je ne sais pas ce qu’il faut croire. L’a-t-elle fait pour aider, sans se rendre compte que l’effet serait inverse, ou l’a-t-elle fait sciemment ? Nous en recauserons plus tard. Je détache Carole et lui rend ses vêtements. Elle enfile sa jupe. Soutien-gorge et slip, que ma chérie a découpés au couteau, sont fichus. Sur le chemin du retour, Carole reste rencognée, les mâchoires serrées. Ça doit ...
«12...8910...25»