29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... m’en mêler… J’essaie de la calmer, lui présente aussi mes excuses pour les « désagréments » de la veille. J’ai remarqué sa démarche. Elle doit vraiment avoir la chatte en feu, mais pas dans le bon sens, et sa poitrine ne doit pas se faire oublier non plus. Elle réplique qu’elle n’a rien à pardonner et qu’elle comprenait la réaction de Gwendoline, qui avait eu peur pour celui qu’elle aime. Durant la discussion, elle se calme. Dominique et moi prenons congé. Carole m’arrête une nouvelle fois pour me murmurer : — Merci de m’avoir ramenée chez moi hier soir et … merci pour la pommade. Et elle m’embrasse sur la joue. Décidément, les gens m’étonneront toujours. Les femmes en particulier. Arrivé à la bibliothèque, j’ai un coup de fil d’Anne. Inutile de préciser le sujet de notre conversation. Elle réussit à me convaincre de ne pas aller rendre visite à son mari pour m’expliquer avec lui. Elle pense qu’il vaut mieux le laisser mariner un peu dans son jus. Elle en profite pour me dire qu’elle a un rendez-vous avec le toubib, pour elle et Gwendoline, demain matin. L’attente jusqu’à demain sera longue. Un peu plus tard, Guillaume Boishardy me téléphone pour savoir à quelle heure ils doivent venir pour le dîner. Bon sang ça m’était complètement sorti de l’esprit avec les événements de la nuit. À Dominique aussi, d’ailleurs. Nous profitons de la pause déjeuner pour aller faire quelques courses pour le soir. Rentrés à la maison, nous y retrouvons Gwendoline et nous nous mettons à la ...
... cuisine. Nous avons faisons simple. Une salade composée en entrée, du jambon à l’ananas et du sorbet en dessert. Nos six invités arrivent. Je fais les présentations. Je présente Dominique ma collègue et Gwendoline sa sœur, sans plus de précisions. Mes compères se doutent qu’il y a anguille sous roche, mais ne font pas de commentaires. Le repas se déroule dans la gaîté. Nous parlons un peu de la boutique. Tout se passe à merveille. Seule ombre au tableau, le gestionnaire qui les aidait a succombé aux charmes de la vendeuse et tous deux sont partis filer le parfait amour sous d’autres cieux. Du coup, mes amis se trouvent un peu débordés entre l’atelier et la boutique. Au moment du dessert, Guillaume et Louise, Joseph et Brigitte nous annoncent que suivant mon idée ils ont décidé de convoler en justes noces le même jour, le 9 avril 1977. Faisant les choses suivant les traditions ils prévoient aussi des fiançailles officielles le samedi 27 novembre. Je suis invité aux deux. Titillée par la présence de Dominique et Gwendoline, qui évoluent en habituées des lieux, Brigitte précise finement que si je venais accompagné, cela ne poserait pas de problème. Après un coup d’œil à mes deux chéries qui me donnent le feu vert, je déclare que… Maman serait ravie de venir. Devant la mine déconfite de mes interlocuteurs je ne peux garder mon sérieux. J’entends dire que je suis incorrigible. Guillaume prend un air faussement résigné pour déclarer qu’il va falloir me trouver une cavalière, mais qu’il ...