1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... ne voit pas à quelle malheureuse il ira jouer ce mauvais tour. Je suis décidé à les laisser mariner encore un peu, avant le « coup de tonnerre » de la révélation, mais Gwendoline abrège le suspens en déclarant qu’il ne sera pas utile de me chercher une cavalière, puisque j’en ai déjà deux. Quand Dominique enchaîne qu’à elles deux elles suffisent pour s’occuper de moi, je sens un certain flottement chez nos hôtes. Ils ne savent trop sur quel pied danser. Brigitte demande presque timidement : — Vous vous occupez de lui toutes les deux ? Il y a tant de travail que ça ? D’une seule voix les deux sœurs répondent « Oui ». Cette réponse ne fait qu’augmenter la perplexité de mes amis. Gwendoline met les points sur i en précisant : — Et de jour comme de nuit. Ce n’est plus de la perplexité, c’est de l’hébétude qui se lit sur leur visage. Brigitte répète mécaniquement : « De jour comme de nuit ! Toutes les deux ! ». Dominique leur sert le petit discours déjà servi à Patrice, Claude et Gaëlle. L’effet est similaire, les mêmes questions reviennent sur l’acceptation de la situation par les deux sœurs, moins directes et précises que celles de Gaëlle, bien sûr. Le sujet alimente la conversation une bonne partie de la soirée. Un peu après une heure du matin, alors que mes amis nous faisaient leurs au revoir, une idée me traverse l’esprit malgré l’heure tardive. Ça m’arrive quelque fois. Je leur demande s’ils ont déjà des personnes en vue pour remplacer leurs déserteurs. À leur réponse ...
    ... négative, je leur demande de patienter deux jours avant d’entreprendre des recherches, j’ai peut-être une piste. En remettant de l’ordre après leur départ, les filles et moi ne pouvons nous empêcher de rire aux souvenirs de la tête de nos invités, au fur et à mesure qu’ils réalisaient ce dont nous parlions. Il est quasiment deux heures quand Dominique et moi rejoignons la chambre, après avoir aidé Gwendoline à ouvrir le canapé. Le démarrage est quelque peu en côte. Quand nous partons, Gwendoline dort toujours du sommeil du juste. Au travail, la matinée se traîne. La visite d’Anne et Gwendoline chez le médecin occupe mon esprit de manière lancinante. L’heure de la pause approche, et toujours rien. Je ne quitterai pas le bureau pour être près du téléphone. Le dernier lecteur vient de sortir et nous nous préparons à fermer, quand Anne et Gwendoline apparaissent à la porte. Elles sont sérieuses comme un régiment de papes. Des idées contradictoires se bousculent dans ma tête. Mes pieds sont comme collés au sol. Je ne suis capable d’émettre aucun son. Je dois avoir l’air de… de je ne sais trop quoi de pas très éveillé. Elles traversent la bibliothèque. Cela dure une éternité. Pourquoi marchent-elles si lentement ? Elle s’arrêtent devant nous, se regardent. Anne pousse un soupir : — Hé bien ! Nouveau soupir. Elles me font mourir… — C’est… C’est un doublé gagnant. Félicitations. Et elles me sautent au cou. Mon cœur s’affole dans ma poitrine. C’est tellement extraordinaire. Tout le monde ...
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