1. 29 juin -5 juillet


    Datte: 07/05/2021, Catégories: fh, extracon, ascendant, freresoeur, enceinte, amour, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, gifle, orties,

    ... ses frère et sœur. Elle vit de petits boulots et habite dans une chambre de bonne, le nouveau compagnon de sa mère étant un peu trop… attentionné. L’heure de vérité sonne. Nous avons dû détacher Véronique. J’ai essayé de changer mon allure en retirant mes lunettes, en ébouriffant mes cheveux et en nouant un mouchoir autour de mon front. De plus nous restons dans une zone pas trop près des réverbères. Une voiture approche et s’arrête à notre niveau. Une jeune femme en descend, très classe. Elle demande : — Alors ! C’est fait ?— L’opération a eu lieu ce soir. Il a eu la bonne idée d’aller se balader avec sa souris dans le bois. Le blé maintenant. Je réponds en tendant la main. Elle est du genre méfiante : — Qu’est-ce qui me prouve que c’est vrai ? J’ai une idée lumineuse. Je plonge la main dans ma poche et lui tends mon portefeuille en ricanant. — Tiens, son larfeuille. Il a insisté pour que je le prenne. Elle avance la main pour le prendre. Je m’en saisis, lui fais une clé au bras qui l’immobilise. Gwendoline m’aide à lui attacher les mains dans le dos avec la ceinture. Nous ne pouvons rester sur le bord de la route. Nous avons déjà eu de la chance de ne pas être surpris pendant l’interrogatoire de Véronique. Je récupère les clés de voiture de notre nouvelle « invitée », ouvre le coffre, l’y pousse et l’y enferme. Véronique n’a pas moufté. Après lui avoir fait rédiger une petite déclaration relatant les faits, je la dépose au métro, avant de repartir avec Gwendoline vers une ...
    ... banlieue plus lointaine et moins passante. Nous trouvons un endroit discret vers Tournan-en-Brie. Je sors le colis du coffre. Je lui explique que je veux savoir le pourquoi du traquenard à mon encontre. Un coup de pied que j’évite de justesse m’empêche de poursuivre. Une voiture qui passe au même moment a ses phares qui se reflètent sur notre véhicule. Gwendoline me suggère de chercher de quoi lui lier les chevilles, pour éviter de nouvelles ruades, et d’aller garer la voiture un peu plus loin. Je trouve des cordes dans le coffre et attache les jambes de notre prisonnière. Je déplace ensuite la voiture de deux, trois cents mètres. Je trouve une lampe dans la boîte à gants et m’en saisis, mais je ne l’allume pas, la nuit est claire. Quant je rejoins les deux filles, je constate que Gwendoline a pris quelques initiatives. Carole n’est plus vêtue que de son chemisier déboutonné. Elle n’a dû le conserver que parce que pour le retirer il aurait fallu lui délier les mains. Ses chevilles sont attachées non plus ensemble, mais chacune à un arbre. Ainsi offre-t-elle à mon regard son intimité, sans pourvoir la dérober. Arriver à ce résultat n’a pas dû être de tout repos. Ma chérie est légèrement échevelée. Je lui fais reproche de mettre la charrue avant les bœufs. Il aurait mieux valu essayer de discuter avant. Je lui murmure qu’en plus elle risquait un mauvais coup au ventre. Sur ce dernier point elle veut bien admettre que je n’ai pas tort. Je ramasse la jupe de la fille et couvre son ...
«12...678...25»