29 juin -5 juillet
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
ascendant,
freresoeur,
enceinte,
amour,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
photofilm,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
gifle,
orties,
... entrejambe. Je réitère mes questions et lui ôte le bâillon afin qu’elle puisse parler. Elle répond qu’elle ne sait pas de quoi je parle. Que nous sommes des fous. Qu’il faut la relâcher. Qu’elle va porter plainte. J’ai beau lui lire les déclarations de sa sœur. Rien n’y fait. Elle répond que sa sœur est mythomane, qu’elle a trouvé ce moyen pour se dédouaner. N’aurait été son attitude quand elle est arrivée, j’aurais presque pu la croire. Comme une nouvelle voiture passe sur la route, elle se met à hurler. Gwendoline se précipite, me bouscule sans ménagement et lui ré-enfourne son bâillon. Je m’en retrouve, au sens propre comme au figuré, sur le cul. Elle s’assoit à califourchon sur la récalcitrante, empoigne ses seins et leur fait subir le même traitement qu’à sa frangine. L’autre essaye de se dégager et réussit presque à désarçonner son bourreau. Celui-ci se remet en selle et lui assène deux claques qui lui font dodeliner de la tête et voir au moins trente-six chandelles. Ma chérie y a mis tout son cœur. J’arrête une troisième gifle qui était sur le départ, la fait se lever malgré sa résistance et m’installe à sa place. Ce n’est pas que j’y tienne férocement, mais au moins je contrôlerai la situation. Je prends un air féroce, pose mes mains sur sa poitrine, commence à serrer et murmure : — Ma belle, tu aurais intérêt à te montrer coopérative, avant que cela ne devienne franchement désagréable. À côté de moi, mon amie est un ange de douceur. Dieu merci, elle ne persiste ...
... pas. Je ne me sentais pas de lui martyriser les seins. Les seins, je préfère m’en occuper comme ceux d’Anne dans le train. Je lui retire son bâillon. Elle avoue. Oui, elle a appelé sa sœur pour me faire flanquer une raclée. — Pourquoi ? Je ne te connais pas.— C’est mon patron qui me l’a demandé.— Ton patron ! Qu’est-ce que c’est que cette histoire. Qui est-ce ? Pourquoi ?— C’est Monsieur Saint Lescure, pour que vous cessiez de tourner autour de ses filles. Il ne veut pas qu’elles se laissent entortiller par un gigolo et un coureur de dot.— Qu’est-ce que cela aurait changé de me faire dérouiller ?— Il pense qu’après ça, plus un honnête dédommagement, vous auriez quitté la scène. J’en reste comme deux ronds de flan. Gwendoline prend le relais : — Et pourquoi ton patron t’a-t-il demandé d’organiser le sale boulot ?— Je lui avais parlé des mauvaises fréquentations de ma sœur.— Et il demande à la première secrétaire venue, qui lui a raconté ses histoires de famille, d’organiser des expéditions punitives.— Je ne suis pas secrétaire. Je suis assistante de direction.— Assistante de direction si tu veux. Ce n’est quand même pas normal.— Je suis son assistante personnelle. C’est un patron extraordinaire. J’interromps l’échange : — Et bien, tu vas me raconter tout ça par écrit. Je lui délie les mains et lui tends de quoi écrire. Vaincue, elle s’exécute sans tenter d’éluder. Quand elle a fini, Gwendoline reprend : — Alors c’est un patron extraordinaire et toi, tu es la fidèle assistante ...