1. Un cadavre dans le placard


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fh, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral humour, policier,

    ... toutefois que vous restiez à notre disposition. Que vous ne quittiez pas Londres… pour l’instant.— Je peux vous accompagner aussi dans votre enquête si vous voulez, comme ça, vous m’aurez à disposition, sous la main dirons-nous.— Votre proposition est tentante, mais ce n’est pas très catholique comme vous dites chez vous.— Votre français est excellent… chapeau bas !— Si vous me promettez de ne pas faire de vagues et de me laisser faire mon boulot sans intervenir…— Je suis partante. Je n’ai aucune envie que les ordures qui ont essayé de me coller cette m… e sur le dos s’en tirent à bon compte.— Alors… vu sous cet angle… allons-y ! Je me prénomme Georges et mon collègue c’est James.— Pourquoi m’avez-vous parlé de cette drogue ? Le Rohypnol c’est bien ce que vous avez dit ?— Tout simplement parce que les analyses ont déterminé que vous en aviez une dose conséquente dans le sang et si ce n’est pas vous qui l’avez prise sciemment, c’est qu’on l’a mis dans votre verre. Et il doit bien y avoir une raison pour que quelqu’un ait eu envie de vous mettre dans l’embarras. Vous n’avez pas une petite idée de qui il peut s’agir ?— Non ! Mais vous avez creusé aussi du côté du nom donné par le type que je croyais être Gauthier ?— Massart ? Non ! Ça ne donne rien ni ici ni en France. Le problème c’est que pour avoir des informations chez les « frenchies » je dois passer par ma hiérarchie.— Ça… je peux l’arranger. J’ai quelques contacts avec quelques bons flics du quai des Orfèvres.— Very ...
    ... well ! Parfait alors, voilà qui va nous arranger singulièrement.— Vous ne voulez pas que nous allions dehors, dans un pub pour boire une bière, j’ai besoin de cela pour me remettre les idées en place.— James doit rentrer chez lui. Mais moi, no problème ! Je veux bien prendre un pot avec vous. — ***OO*** — Ce Georges se montre sous un jour nouveau. Il n’est pas beau, mais il a un charme certain. Ça réveille un peu mon corps et je ne sais pas pourquoi, mais je trouve à la Guinness que nous buvons un goût nouveau. Rien à voir avec nos bières blondes et pas nos brunes non plus. Il me sourit avec des petits yeux qui en disent long sur sa façon de lire en moi. Et je reconnais que ses regards, ses sourires, sa gentillesse aussi m’émeuvent plus que je ne le voudrais. Ses prunelles marron, qui roulent dans leurs orbites, ses grandes mains fines, presque féminines et son délicieux accent pour parler notre langue, tout cela sans doute concourt à me donner envie. Il y a également — et il ne faut pas nier cette baisse de tension qui intervient en moi, un relâchement de tout mon être qui m’inciterait à plus ou moins fantasmer sur ce grand bonhomme placide qui doit bien avoir dix ans de plus que moi. Je devrais sans doute ajouter à tout ceci la confiance qu’il m’accorde, parce qu’après tout… il n’a aucune certitude que je ne suis pas une vilaine tueuse. Il me parle de ce Londres qui lui tient tant à cœur, puis parfois redérive sur cette enquête. Il reste persuadé que c’est bien voulu que l’on ...
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