Bronzette & brochettes
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
fh,
Oral
fsodo,
couple,
... éclater ainsi ce cul magnifique, à le remplir tel un fleuve impétueux jusqu’à ce qu’il déborde encore et encore, sans fin ! --oOo-- Après ces petites folies de nos corps, je reprends mes esprits et, un peu chancelant, je m’occupe à nouveau du barbecue tandis que ma femme reste allongée sur le ventre, ses belles fesses bien en évidence. Suintant le long de son sillon, mon sperme s’échappe petit à petit de son puits sombre que j’ai honteusement visité, et je reconnais que ce spectacle de nos récentes turpitudes est très agréable à voir… Il faudra que je prenne une photo ! Ce que je fais quelques instants plus tard avant d’être un peu plus sérieux et de songer à nos estomacs. Moins de dix minutes plus tard, tout est OK. Je pose sur la table tout ce qu’il faut pour le repas. Puis, toujours uniquement habillé de mon tee-shirt, je m’assieds, commençant à répartir la viande dans les deux assiettes. Une bonne minute plus tard, ma femme daigne se lever de son transat ; elle s’approche de la table. La voir onduler nue en s’approchant de moi réveille aussitôt une certaine partie molle de mon anatomie ! Un peu ensommeillée, debout juste à côté de moi, elle s’étonne que nos deux assiettes soient si proches. Sans lui laisser le temps de réagir ni de m’échapper, je la capture et je l’assieds de force sur mes genoux. C’est alors qu’elle constate sur ses fesses nues que je n’ai rien mis pour couvrir mon sexe bien érigé ! Elle me gronde : — Tu me fais quoi, là ?— Appelle ça un caprice si ça ...
... te fait plaisir, mais j’ai décidé de te faire déguster de la saucisse par les deux bouts !— Ah bon ? Quelle idée !— Une trèèès bonne idée ! M’emparant d’elle de mes deux bras fermes et musclés, la soulevant un peu, je la positionne sans forcer sur ma queue bien raide. Celle-ci s’enfonce sans problème, comme dans une onctueuse motte de beurre chaud, car visiblement, ma femme est en condition et en émoi, plus bas… Ce qui arrange bien mes vicieuses affaires ! C’est vachement bon ! Même si cet adverbe est désuet. Je soupire d’aise, et j’évite de trop bouger car je serais bien capable d’éjaculer sur le champ des litres et des litres de sperme ! C’est tout au moins l’impression que j’ai, car j’ai quand même conscience de la réalité qui est nettement plus proche du dé à coudre que du jéroboam… — Toi, il ne faut pas t’en promettre, mon salopiaud !— Avec toi comme femme et maîtresse, c’est indéniable !— Mon cul ne te suffit plus ? Tu y as pourtant été de bon cœur !— Toujours faire les choses avec cœur, ma chérie ! Tu as tellement d’endroits intéressants à explorer ! Elle, ça l’amuse, je le vois bien sur son visage ! Vicieusement, elle remue du bassin afin de contempler ma réaction. Je fais du mieux que je peux, mais elle comprend sans problème que je fais un gros effort sur moi-même ! — Alors, mon cher mari, on n’a pas les moyens de ses prétentions ?— Mange ce qu’il y a dans ton assiette !— Et pas ce que tu me proposes entre mes fesses ?— Je ne suis pas tout à fait entre tes fesses…— ...