1. Bronzette & brochettes


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, Oral fsodo, couple,

    ... C’est vrai ! Si tu étais entre mes fesses, tu m’aurais déjà inondé le trou du cul ! Et ça la fait rire ! J’apprécie beaucoup ce repas, ma femme toute nue assise sur mes genoux, et plus précisément empalée sur mon poteau de chair. Comme ils sont à bonne hauteur, j’en profite pour croquer doucement ses tétons tout durs, une friandise dont je ne me lasse pas depuis des années ! Elle se laisse faire, pointant éhontément ses seins vers ma bouche qui ne demande que ça. Parfois, elle s’amuse à remuer lascivement du bassin, ondulant autour de mon sexe bien planté en elle. Nous finissons nos assiettes, toujours rivés l’un à l’autre. C’est une expérience qu’il faudra renouveler ! Karine me demande à brûle-pourpoint : — Bon, on fait quoi ? Tu fais ta petite affaire tout de suite ou on attend après le dessert ?— Tu n’es pas très… romantique… Mettant ses bras autour de mon cou, elle se gausse : — Parce que toi, tu l’es ? C’était très romantique de défoncer mon cul comme tu l’as fait avant de manger ! Mon trou du cul le sent encore !— Tu n’es franchement pas romantique, tu sais…— Hé, oh ! Ça va faire combien de temps que nous sommes ensemble ? Je ne t’ai pas trompé sur la marchandise depuis tout ce temps !— Je reconnais que tu as toujours été… nature et directe…— Fort bien ! Alors, mon cher mari : tu me gicles ta purée tout de suite ou en chantilly après le dessert ? Je secoue la tête : — Là, t’en rajoutes une tonne !— Ah bon ? Tu crois ? Ça ne répond pas à ma question !— Tout de suite !— ...
    ... À la bonne heure ! Et elle commence à se trémousser sur moi, se frottant ignoblement contre moi, ses seins nus sur mon tee-shirt, ses lèvres contre les miennes. Ma tige de chair est soumise à une folle sensualité provenant de son antre chaud et humide. Vicieuse, Karine tressaille sur moi, s’agite, se balance, se secoue, ma queue maltraitée s’enfonçant plus encore. Je sens que je ne vais pas résister malgré mes efforts désespérés. J’ai beau songer à n’importe quoi d’autre, la chaleur de son corps, sa douceur et sa perversité sont les plus fortes. Je serre les dents, tentant de retarder l’échéance ! — T’es qu’une salope ! Sans bien comprendre comment j’ai pu faire, mon tee-shirt valse sur la table, je lui saisis voracement un sein à pleine main, tandis que je dévore ses lèvres. Mon autre main s’agrippe à sa hanche toute fraîche. Je donne des coups de bassin désordonnés pour m’enfoncer mieux en elle, pour sentir sa chaleur, sa moiteur, son intimité. C’est alors que j’explose ! Une vaste vague s’extirpe de moi, allant envahir l’intimité de ma femme, venant la submerger, la faire déborder. Je me sens tel un gigantesque jet d’eau, une pompe à incendie qui éclate, qui explose ! C’est avec une inouïe délectation que je sens fuser d’autres salves. Oui, je veux remplir ma femme, complètement, absolument ! Puis une immense fatigue s’abat sur moi, me laissant pantelant, brisé, vidé. Oui, totalement vidé, comme si je n’étais plus qu’une simple écorce sans chair à l’intérieur… — Eh bien, ...
«12...5678»