1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (3) : la rencontre avec Philippe.


    Datte: 21/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... surhumains pour ne pas crier ma jouissance. Moi aussi, je ne me suis pas gênée pour caresser et branler mes voisins ou doigter mes voisines, je poursuivais jusqu’au moment où je recueillais sur mes doigts leur sperme ou leur cyprine, que je portais ensuite triomphalement à mes lèvres. Certains sont allés jusqu’à me faire sortir pour se faire tailler une pipe ou me baiser sauvagement dans les toilettes. Ceci n’était pas réservé à mes homologues masculins. Mon attirance pour toute forme de plaisir sexuel, et donc pour le plaisir entre femmes, devait se sentir. Je raconterai une autre fois comment ma collègue anglaise, Ann et néerlandaise, Ursula m’ont dragée puis rejointe dans ma chambre, où nous avons passé la nuit à nous gouiner. Ce fut mon premier trio lesbien, trio que nous avons prolongé lors des réunions suivantes et pendant les vacances d’été suivantes, où mes deux amantes vinrent me rejoindre une dizaine de jours. Pour Ann, à l’apparence si coincée, c’était une découverte. Ursula, lesbienne exclusive, était tombée amoureuse de moi et voulait que je la rejoigne à Amsterdam pour que nous vivions ensemble. Avec elle, j’ai beaucoup appris sur le plaisir que deux femmes peuvent se donner. Pour autant, pour moi, pas question de renoncer aux hommes. Les godes dont s’harnachait Ursula pour me prendre encore et encore ne pouvaient pas remplacer la chaleur d’une belle queue qui me possède et dont je sais que la semence jaillira en moi, dans ma bouche, sur mon visage ou sur mon ...
    ... corps. Rien ne peut remplacer cela et c’est ce qui fait que je suis une bisexuelle assumée et accomplie. Dans ce contexte, la rencontre avec Philippe fut une rupture. Philippe était mon nouveau collègue français. Il avait une bonne dizaine d’années de plus que moi (13 ans exactement). Il brillait lors des réunions, par sa connaissance des dossiers, son sens de la répartie, sa culture. Physiquement, il ne correspondait pas au type d’hommes que j’avais collectionnés depuis la découverte de ma sexualité. Sans être chauve, il est dégarni, il mesure 1M74 et il a un peu de surpoids. Je reparlerai plus loin de son comportement au lit. Il n’avait donc rien susceptible a priori de m’attirer. Et pourtant, je me sentais poussée vers lui. J’ai toujours adoré la langue et la culture française. J’avais bien constaté qu’il me dévorait des yeux. Il m’a avoué ensuite que, dès le début, il était tombé amoureux fou de moi. Ses collègues ne lui avaient pas caché ma réputation et ce qu’ils faisaient avec moi et lui avaient dit « vas-y, tu ne le regretteras pas, elle est exceptionnelle.» Mais lui ne me voulait pas pour une nuit, il rêvait de m’avoir pour la vie. Il s’était dit que j’étais celle avec qui il pourrait accomplir tous ses fantasmes et en particulier le candaulisme. Ses deux précédentes compagnes l’avaient quitté, la première parce qu’après avoir cédé aux encouragements de Philippe à prendre un amant, elle avait fini par tomber amoureuse de cet homme. Philippe avait connu l’adultère, pas ...
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