Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (3) : la rencontre avec Philippe.
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... séparés, Philippe m’a remercié pour cette «délicieuse soirée». Il a voulu m’embrasser sur les joues, c’est moi qui ai cherché ses lèvres et ce fut notre premier baiser d’amoureux. Ce premier baiser dura une éternité et ne s’interrompit que parce que nous devions reprendre notre souffle. Il embrassait mieux qu’aucun de mes amants avant lui. J’en avais profité pour prendre ses mains et les mettre sur mes fesses, me serrer contre lui pour qu’il sente mon désir et que je sente le sien. Et pourtant, ce soir-là, il ne s’est rien passé. Jamais un homme ne s’était comporté ainsi avec moi et n’avait pas donné suite à mes avances. J’étais furieuse et frustrée, au point de m’être offerte cette nuit-là au gardien de l’hôtel, un beau black à qui j’ai demandé de me baiser « comme la dernière des putes» pour apaiser ma frustration. Le comble est que ce petit jeu s’est prolongé quelques mois. Ca me rendait folle, je ne comprenais pas. Il me contactait tous les jours, à chaque fois que nous pouvions on se retrouvait pour diner, visiter un musée, une exposition. J’ai fini par craquer : • Philippe, je ne te plais pas ? Tu ne me trouves pas jolie ? Tu n’as pas envie de moi ? • Tu es la plus belle femme que j’ai jamais rencontrée, Olga. Je suis fou de toi. Mais j’ai si peur de te décevoir, de ne pas être à la hauteur. Et je t’aime comme je n’ai jamais aimé de ma vie • Je vais te dire ce que je n’ai jamais dit à un homme : je crève d’envie d’être à toi, je t’aime ! • Je veux plus qu’une liaison, ...
... Olga, je veux être à toi pour la vie. • Tu veux que je sois seulement à toi ? • Jamais je n’exigerai de toi la fidélité, au contraire. Tu es trop belle pour te contenter d’un seul homme, surtout s’il s’agit de moi. • Alors, ce soir, tu vas passer la nuit avec moi. Et je serai à toi, ta femme, ton épouse. Ce soir-là, nous sommes revenus à pied à mon hôtel, dans le quartier latin. Nous avons pris tout notre temps. Nous nous sommes arrêtés pour nous embrasser. Nous étions en juin, je portais un chemisier échancré, sans soutien-gorge. Philippe ouvrait les boutons et de ses mains, de sa langue, portait toute sa tendresse sur mes seins. Les pointes se dressaient fièrement, exprimant mon désir et mon excitation. J’aurais été prête à ce qu’il me prenne dans la rue. Arrivés à la chambre, nous sommes déshabillés. J’avais compris qu’il ne fallait pas le brusquer et qu’il fallait le mettre en confiance. Jamais je n’ai eu de préliminaires aussi longs avant le coït dont j’avais pourtant tant envie. J’avais tant envie de masturber et de sucer la queue de celui qui était désormais à moi. Cette verge était loin de la taille de celle de mes amants habituels, mais je la voulais car elle était celle de l’homme avec qui je liais mon destin. Il m’a interrompu en me disant : • « Mon Olga, tu suces comme une déesse, j’ai peur de venir trop vite, laisse-moi m’occuper un peu de toi. • Mon bébé, j’ai envie de toi, de ta queue dans ma chatte, dans mon cul, dans ma bouche. De tes mains, de tes lèvres sur ...