1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (3) : la rencontre avec Philippe.


    Datte: 21/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... le candaulisme, car elle s’était refusée à donner à Philippe ce qu’il aime tant et que je lui ai offert par la suite, à savoir être le complice, le témoin du plaisir de la femme qu’il aime. Sa seconde compagne venait également de le quitter du fait de ses médiocres performances sexuelles. Philippe est arrivé dans ma vie à un moment où j’étais dans une fuite en avant, où je ne parvenais pas à maîtriser mon hypersexualité, où malgré mes précautions elle était susceptible d’avoir des conséquences négatives sur ma vie et ma carrière. J’avais l’envie de me stabiliser, de rencontrer celui que j’admirerais et aimerais, avec qui qui je construirai un couple et une famille. Et je ne sais pas pourquoi je me suis dit « pourquoi ce ne serait pas lui ? » Je me suis mise à lui faire du « rentre dedans », à faire en sorte d’être le plus souvent possible sa voisine de table pour qu’il puisse bien admirer mes jupes courtes et mes jolies jambes. De même, je faisais en sorte qu’il puisse bien mater mes petits seins. Je voulais le rendre fou de désir. Il a fini par m’inviter à diner. Un des meilleurs restaurants de Paris. J’avais sorti le grand jeu, en mettant ma robe la plus sexy, dos nu, fendue jusqu’aux hauts des cuisses, particulièrement décolletée. Absolument provocante et indécente. Evidemment ni soutien-gorge ni culotte, pas même un mini-string. Je m’étais outrageusement maquillée, je portais des talons aiguille qui mettaient en valeur mon joli cul. J’étais particulièrement excitée. Moi ...
    ... qui avais connu tant d’amants, je voulais ce type. Les autres convives se retournaient sur mon passage, les femmes m’envoyaient un regard courroucé, les hommes auraient voulu être à la place de Philippe. C’est moi qui lui ai demandé de me tutoyer. Pendant tout le repas, j’ai été sous l’emprise de l’intelligence, de la culture et du charme de Philippe. Mais aussi je ressentais une immense frustration. Pour la première fois de ma «carrière» de séductrice, alors que mes intentions me semblaient transparentes, l’homme avec lequel je voulais passer la nuit ne faisait aucun «geste déplacé», alors que je n’attendais que ça. Il s’est juste contenté de mettre sa main sur la mienne. Un moment j’ai été tentée d’y aller carrément, de m’offrir à lui, de lui dire « j’ai envie de toi, raccompagne moi à mon hôtel, je veux qu’on baise, je n’en peux plus ». Mais un sursaut d’orgueil m’en a empêché. Je me suis demandé s’il était pédé. J’ai su plus tard que Philippe refoulait sa bisexualité, qu’il a finie par assumer grâce à moi et j’ai beaucoup de plaisir à voir mon chéri sucer une belle queue et se faire prendre devant moi. Je suis même allée jusqu’à renverser un peu de sauce sur son pantalon. J’ai fait celle qui n’avait pas fait exprès et je me suis empressée de nettoyer la tâche avec une serviette et de l’eau. J’ai fait ça avec tout mon art et je l’ai caressé jusqu’à ce qu’il jouisse abondamment dans son slip. Ce moment valait tous les aveux de ma part et de la sienne. Quand nous nous sommes ...
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