1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (3) : la rencontre avec Philippe.


    Datte: 21/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... mon corps. Les autres hommes m’ont baisée, toi, mon chéri, tu vas me faire l’amour ». Et en effet, les préliminaires ont duré longtemps. Philippe était en adoration. Ses mains, ses lèvres, sa langue parcourait mon corps. Je fermais les yeux, me laissant envahir par la tendresse. Aucun amant ne s’est autant attardé sur mes seins que Philippe. Ils sont plutôt petits (90b) mais très sensibles. Les caresses, une langue sur mes pointes, des lèvres qui sucent mes tétons ça me rend folle. Et c’est ainsi que j’ai joui une première fois, simplement en touchant mon bouton d’amour. J’encourageais Philippe, mais j’imaginais, dès ce moment-là, d’autres mâles, plus virils, plus brutaux, me prendre sans ménagement pendant que mon chéri m’accablait de tendresse. Philippe me regardait, inquiet, pensant qu’il avait tout gâché. Je le rassurai : • Continue, mon amour, ne t’inquiète pas, je suis une femme qui est capable d’avoir plusieurs orgasmes. Il approcha de ma chatte qui était trempée et béante. Il se mit à me lécher, me pratiquant un cunnilingus que seules quelques-unes de mes amantes savaient mieux pratiquer. • Oh oui, mon chéri, suce mon clito, enfonce ta langue dans ma chatte, vas-y n’arrête pas, enfonce bien ta langue, bouffe moi la chatte ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii Je maintenais sa tête contre ma chatte avec force, au risque de l’étouffer. Je n’imaginais pas, à ce moment-là que, dans quelques années, cet homme, devenu mon époux, irait nettoyer ma chatte pleine du sperme de mes amants. Il ...
    ... m’envoya en l’air pour la seconde fois. J’avais trouvé un homme dont la seule préoccupation était mon plaisir. Nous firent une pause, autour d’une coupe de champagne. J’aurais voulu m’occuper de lui, mais il n’en avait pas fini avec moi. Il se mit à me doigter la chatte et le cul. Je l’encourageais : • Oh oui, j’aime ça ! Vas y, mets un second doigt ! Je le poussais à mettre un troisième, ça entrait sans problème. Soudain je lui ai dit : • Mets-moi tout la main, j’en ai envie ! • J’ai peur de te faire mal, de te déchirer. • Je suis si ouverte et si mouillée que je suis prête. Tu as une main fine. Je ne l’ai jamais fait, mais j’en ai envie. Je ne peux pas t’offrir le pucelage de ma chatte ou de mon cul, je les ai perdus il y a déjà un moment, mais cette fois tu seras le premier à me faire ça. Philippe est allé à la salle de bain, pour se laver soigneusement la main et pour bien lubrifier son avant-bras. Pendant ce temps, j’avais sorti mon gode le plus impressionnant et je me l’enfonçais dans la chatte, jusque la garde. Philippe s’est approché de moi. Nous nous sommes longuement embrassé, pendant que, de sa main gauche, il actionnait le gode pour me baiser. • Vas-y mon amour, je suis prête. Fiste moi ! Philippe y allait doucement, ayant serré ensemble le plus possible ses doigts. • Oui, maintenant ! Ohhhh mon Dieu, que c’est bon. Rentre ton bras le plus possible, oui, comme ça. Il était passé et la douleur, forte au départ, était remplacée par le sentiment d’être remplie comme ...
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