La Muse (26)
Datte: 23/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Caro : mon jouet, mon esclave. Au petit matin, après une belle nuit réparatrice remplie de rêves torrides, les premiers rayons du soleil s’infiltraient par les persiennes et venaient caresser mon derrière. Au toucher, il était à peine douloureux et me semblait même s’être raffermi, sans doute à cause des coups de paddle. À mes côtés, mon nounours de Georges semblait dormir. Pour ne pas le réveiller, je restai un moment sur le dos, les yeux dans le vague. Je me remémorais cette soirée : je revoyais tous ces moments passés et j’essayais de comprendre mon attitude. Persuadée que ce qu’il s’était passé le soir avait quelque chose de surnaturel, je décidai de renouveler l’expérience ailleurs et avec quelqu’un d’autre pour savoir si j’aimais réellement le SM. Pour vérifier si mon nounours dormait encore, je pris en main son membre, qui sous l’effet du léger coulissement et de petites chatouilles sur le gland découvert se mit à grandir et atteindre une belle taille. Toujours aussi féline, je me mis à ronronner. Je lui léchai les tétons qui durcirent un peu, puis beaucoup plus sous la morsure de mes dents. J’embouchai le membre raidi et lui fis une belle fellation. Une main passa sur mes fesses et les caressa. — Déjà réveillée ? me dit-il. Comme réponse, un sourire et un baiser, puis je sautai dans un short, enfilai un tee-shirt et fonçai à la boulangerie chercher croissants et chocolatines. À mon retour « Monsieur » s’était rendormi ; cette situation intolérable méritait une ...
... punition. Le temps de mettre le café à passer et de me remettre nue sous une nuisette transparente, j’embouchai le membre rendormi et mou pour le réveiller ; il se mit à grandir à nouveau et à reprendre une taille à la hauteur des évènements. — Jennifer, tu veux m’épuiser dès le matin ? Et encore pardon pour... — Chuuttt !... Georges, ce n’était pas avec moi que tu as joué hier : c’était Julie qui était entrée en moi, j’en suis certaine ; tu comprends cela ? Ce n’était pas moi... cela ne pouvait pas être moi... Une légère émotion se lisait sur son visage, les yeux dans le vague ; il resta sans réponse. Le sifflement de la cafetière me fit sauter à terre, et en un éclair nos petits déjeuners furent disposés sur des plateaux et servis au lit. Georges bien calé sur ses oreillers et moi en face, assise dans ma position préférée, en tailleur. — Pourtant, Jennifer, tu m’as bien appelé « mon chéri » hier soir ? — Oui, je te l’ai dit, mais encore une fois ce n’était pas moi qui ai dit cela ; je ne peux pas te l’avoir dit : je ne t’aime pas, Georges. Écoute-moi, je suis certaine qu’hier nous n’étions pas seuls ; je sentais comme une présence. Quand tu m’as libérée, j’ai regardé le visage de Julie sur le tableau : elle me souriait, et son regard pétillait. Je suis certaine qu’elle était avec nous, et c’est pour cela que tu m’as appelée « ma chérie ». — Je ne sais pas... Et moi qui t’ai fait tout ça... — Pour le tout ça, ne soit pas inquiet car je t’avais provoqué et j’ai juste pris un énorme ...