La Muse (26)
Datte: 23/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Je lui attrapai les seins pour la relever puis je lui attachai les bras en l’air et les pieds aux meubles ; elle ne pouvait plus bouger. Je pris alors un malin plaisir à lui poser des pinces à linge. En premier, j’en posai une par téton ; à chaque pince elle poussait un soupir et grimaçait. Ses petites lèvres et ses grandes lèvres en réclamaient elles aussi, et aussi son clito inondé de sa mouille. Elle se tordait, miaulait, serrait les poings et les dents ; parfois elle râlait. Vicieuse, je jouai avec les pinces en les faisant bouger une à une, les faisant pivoter en appuyant pour lui faire mal ; j’en jouissais d’avance. J’alternais claques bien appliquées sur chacune de ses fesses et pincemente ; elle se convulsait. eskeqqlj — Aïe, aïeeeee... ! Jen, tu me fais maaal... ! — J’espère que tu souffres et que tu aimes ça, esclave ! — Ouiiii... Maîtresse, encore... s’il vous plaît. La voir ainsi souffrir, soumise à ma volonté, m’excitait de plus en plus. Je passai derrière elle et, après lui avoir bandé les yeux, je lui administrai une magistrale paire de claques sur les fesses ; elle gémit immédiatement. Puis d’autres encore avant de passer à la raquette de ping-pong prise parmi les objets préparés. Je lui administrai un violent coup qui atterrit sur ses fesses ; sous le choc, elles s’aplatirent puis rougirent de plus en plus à chaque coup. Elle se tordait encore et encore. Je lui touchai l’entrejambe : elle mouillait de plus en plus. Tout comme Georges me l’avait fait, je ...
... l’engodai, pas avec une carotte et une courgette comme elle avait prévu, mais avec deux godes vibrants que j’avais empruntés chez Georges, le plus gros et le plus long dans sa chatte, l’autre dans son cul ; elle se mit à rugir quand les deux intrus se mirent à vibrer en elle. Son souffle court, son regard presque sauvage et ses gémissements étaient la preuve qu’elle prenait du plaisir. Emportée par ce jeu sadique, je pris le martinet et je frappai l’extrémité des pinces avec les lanières de cuir, mais sans toucher sa peau. À chaque fois qu’une pince sautait, un petit cri s’échappait de sa bouche. Quand il n’y eut plus de pinces, ce sont ses fesses qui connurent la morsure des lanières ; la vue des traînées violacées m’excita encore plus. Tout à coup, elle cria ; je stoppai net. — Aaaah... ! Oui... ! Jen, encore... Aaah... Je jouiiiis... ! Son orgasme était puissant ; je frappai encore, fort. Quand je suis passée devant elle, elle pleurait. « Merde ! Je lui ai fais trop mal... Quelle conne ! » Je m’injuriais intérieurement. Je lui pris les joues, et tout en léchant ses larmes j’implorai son pardon : — Oh, pardon... Pardon, Caro. Je la détachai pour l’allonger sur le lit et la câliner. Je la léchai partout : ses tétons endoloris, ses petites et grandes lèvres, et sa vulve encore garnie du gode. C’était un délice de lécher cette chatte vibrante et humide. Elle allongée, je m’assis sur son ventre, lui tenant les poignets ; je lui suçai les tétons puis le reste de larmes pour enfin ...