1. La Muse (26)


    Datte: 23/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pied, je t’assure. La journée fut calme. Georges commença par aller voir le tableau de sa femme puis s’installa à son ordinateur et écrivit ; quant à moi, je m’exerçai au piano, en nuisette. Loin d’être une virtuose, il trouvait que je me débrouillais très bien. Sous ses encouragements, je persévérai et osai même chanter une chanson de Mylène Farmer que je connaissais par cœur : « Désenchantée ». Ma voix cristalline me le permettait. Par moments, je me voyais déjà en haut de l’affiche. Georges me disait que je devrais m’inscrire à des cours car j’avais tout ce qu’il fallait pour faire une carrière. Pour moi, il entrevoyait une belle et grande carrière ; mais le monde du show-biz me faisait peur et je ne voulais pas y mettre les pieds. Pour le moment, ma carrière se limitait à chanter dans le bistrot de Francis ; je me faisais plaisir, et cela me suffisait. Dans la journée – vers midi je crois – Gilles m’appela et m’informa que lui et Aurore avaient besoin de moi pour le festival du body painting aux USA. Nous partirions plusieurs mois ; j’annonçai la nouvelle à Georges qui fut ravi. Les heures passaient ; je ne donnai aucune nouvelle à Caro. Elle m’envoya plusieurs textos auxquels je ne répondis pas, histoire de la faire mijoter ; elle était visiblement impatiente. Vers dix-neuf heures, je lui en envoyai un : « J’espère que tu es prête : ce soir, tu vas souffrir ! » Sa réponse me parvint immédiatement : « Oui, je suis prête ; tu peux venir plus tôt si tu veux... Bisous, ...
    ... Maîtresse ! » Sa réponse me fit sourire. À l’heure dite, je franchissais le pas de la porte de l’appartement et découvris une Caroline nue et frétillante d’impatience. Comme prévu, elle avait mis des colliers pour chat aux poignets et aux chevilles ainsi qu’un collier de chien et sa laisse qui pendait entre ses seins. Sans lui dire un mot ni l’embrasser, j’attrapai la laisse et la tirai comme une chienne en la forçant à avancer sur le sol. — Fais la belle ! Allez, viens chercher un sussucre... Suce-moi ! Elle se redressa en jappant, à genoux, les papattes en hauteur ; je lui attrapai les tétons. Elle poussa des cris. — Aaaah... ! — Tu aime ça ? Salope ! — Oui, Maîtresse. — Allez, suce-moi la chatte ! Elle se mit à laper ma minette ; j’écartai les jambes et elle enfouit sa bouche entre mes cuisses. Sa langue toute douce caressait avec délicatesse mon clito et ma vulve. — Oh, oui... soupirai-je. Je vibrais déjà, mon plaisir montait petit à petit. Elle suçait, aspirait mon jus qui commençait à couler de mon vagin ; plus elle aspirait et plus je mouillais. Puis je l’abandonnai un instant. Je passai dans la salle d’eau pour enfiler la tenue que je portais la veille. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle me vit réapparaître dans ma tenue de dominatrice avec les cuissardes, le string et le soutien-gorge en lanières de cuir ! Sur la table, elle avait disposé quelques objets ; je choisis la corde, qui passée à ses poignets puis autour de la poutre décorative suffirait à l’immobiliser. ...