La Muse (26)
Datte: 23/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... arriver à sa bouche et lui rouler la plus belle des pelles ; elle se remit à gémir et à onduler. Nos tétons jouaient ensemble, ma chatte coulait. C’est à ce moment-là que je décidai de lui annoncer la nouvelle : mon départ. Drôle d’idée, me direz-vous, mais le but était de la mettre en colère et qu’elle se venge et me fasse mal elle aussi. — Caro, j’ai un truc à te dire ; on fait une pause ? Elle me regarda, interrogative. — Qu’y a-t-il ? — Je vais partir quelques mois aux États-Unis avec aurore et Gilles pour... — Tu es folle ! Et moi, tu y as pensé ? Que vais-je devenir sans toi ? Tu mériterais que je te foute une raclée ! — Je te comprends, mais c’est la vie ; alors, si cela peut te consoler, vas-y. Tiens, si tu arrives à m’immobiliser et à me mettre trois doigts dans la chatte, tu pourras tout me faire. Et n’aie pas peur de mettre le paquet car je suis plus forte que toi. — Ne t’inquiète pas pour moi ; tu as dit « tout » ? — Oui, tout. Mais de toute façon, tu as perdu d’avance. — Et tous les coups sont permis ? Alors fais gaffe à toi : tu vas dérouiller ! — Pas de problème ; de toute façon, tu ne fais pas le poids. Si vous n’avez jamais assisté à un combat de femmes, celui-ci vous aurait plu. Imaginez deux nanas à poil, totalement déchaînées en train de se tirer les cheveux, de se retourner comme des crêpes et de se mordre les tétons. À plusieurs reprises, nous nous sommes mis les doigts dans la chatte et même dans le cul. Nous ...
... mouillions ; j’étais terriblement excitée. Elle résistait, la bougresse ! À un moment je m’étais assise sur son visage, pensant que ce stratagème me permettrait de l’immobiliser. Elle se mit à me sucer la chatte : putain, que c’était bon ! Puis elle me mordit brutalement le clito. Je me dégageai d’un bond et nous nous sommes retrouvées en position de 69 ; ma tête atterrit entre ses cuisses qu’elle serra. J’avais la bouche dans sa chatte baveuse et mon nez au niveau de son trou du cul ; il était hors de question de rester dans cette mauvaise posture. À mon tour, je lui mordis la chatte, mais cette fois je n’avais pas fait dans le détail et tout y passa : ses petites et grandes lèvres, son clito, et je serrai ; elle lâcha, ouvrit les jambes et me poussa. Pour moi, cette manœuvre fut catastrophique car ce fut moi qui en fis les frais : je me suis retrouvée au sol, coincée entre le mur et le lit. Caro m’avait plaqué une main sur la bouche et le nez, m’empêchant ainsi de respirer correctement, tandis que son autre main me triturait l’entrée du vagin. Cette main s’enfonçait dans ma chatte. Devenue incapable de faire un seul mouvement, j’avais perdu ; je n’avais plus qu’à subir. Sa main s’enfonçait dans ma chatte inondée de mouille gluante ; un, deux, puis trois et quatre doigts entrèrent les uns après les autres sans difficulté. — Tu as perdu, Jen ! À toi de souffrir. Allonge-toi sur le dos, là sur le lit ; et vite ! Qu’allait-elle me faire ? À suivre.