1. La vérité sur Paul, Sylvie et Annie


    Datte: 24/05/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio,

    ... des lèvres, toujours avec son humble sourire. Je rapproche ma tête pour prendre un de ses orteils dans ma bouche et je me mets à le sucer doucement. Du coin de l’œil, je la regarde et trouve qu’elle me suit attentivement, alors que son visage rosit. Je lèche les orteils un à un, ainsi que les interstices, puis je remonte par la langue sur un pied, et je bute sur le pantalon. Je me redresse sur les genoux et je tire vers moi ses pans, elle fait de la résistance puis m’aide à soulager l’élastique qui le retient à ses hanches, et en une seconde le pantalon défile entre mes mains. Lentement je lève les yeux vers ses jambes blanches et brillantes, je les caresse de la paume de ma main, puis je mets la tête entre elles. Je balaie ses genoux et ses cuisses de la langue. Son goût est frais et enivrant, comme si elle venait de prendre une douche. Un peu plus haut, je rencontre un bout d’étoffe brodé de dentelle, je le lèche un coup et je le tire vers le bas, sa petite toison apparaît, taillée avec soin et magnifiquement dessinée. Je mets ma langue dessus, je la fais entrer, elle bouge et écarte légèrement les jambes. Me parvient son goût salé, j’enfonce ma langue, tout excité. Elle appuie de ses mains sur ma tête, j’accélère, je me barbouille un bon moment, jusqu’au nez, elle jouit. J’ai mal à la bouche, j’écarte la tête et je la doigte longuement, elle jouit à nouveau. Je m’éloigne et me mets à son côté épuisé alors qu’elle ferme les yeux. Elle se redresse avec peine et remet son ...
    ... pantalon. Elle prend un grand souffle et me demande une cigarette. J’en allume une et la lui donne, j’en allume une autre pour moi et remarque soudain que ses yeux sont en larmes. Elle se rassoit à mon côté en projetant de la fumée, et dit d’une voix basse, à peine audible : — Je me souviens encore de ma sœur. Je l’enlace d’un bras, la ramène vers moi et la serre contre ma poitrine, puis je sirote ses lèvres. — Il faut que je m’en aille, me dit-elle, en prenant son sac à main. Je te rappelle ce soir. Je reste assis sans rien dire. C’est moi qui l’appelle à dix-neuf heures, je suis énervé. Elle me propose de venir chez elle, je lui dis que je préfère que ce soit elle qui revienne chez moi, elle accepte. En l’attendant, j’ingurgite trois whiskies secs et je me jette sur le canapé. En entrant vers vingt heures, elle enlève son imperméable, elle porte une jupe cramoisie et un pull kaki avec un grand décolleté dans lequel apparaît un chemisier de la même couleur. Elle met son sac à main sur un fauteuil et se met sur le canapé. Je m’assois à son côté. Ses cheveux sont libres, et ondulent sur ses épaules, comme je les aime. — Un café, lui dis-je ?— Non, merci, j’en ai pas envie maintenant.— une cigarette ?— Oui, je veux bien. Je lui en allume une et j’en prends une. Elle fume une longue bouffée, puis elle se penche sur moi et colle sa joue contre la mienne. — Tu sais que nous n’avons pas couché ensemble depuis deux jours ! Je mets ma main droite sur l’ouverture du col de son pull-over, ...