La vérité sur Paul, Sylvie et Annie
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
... je remonte aux clavicules, puis j’avance sur la base de son cou. Je sens sa chair lisse, je m’attarde. Elle chuchote : — Tu apprécies mon cou ! Tout en parlant, elle bascule sa tête en arrière pour me laisser admirer son cou, et ne pouvant résister, je l’entoure de mes deux mains. Elle ferme les yeux, tout son cou se couvre de rose, ainsi que son menton et ses joues. Je sens au toucher sa peau tendre et molle, je serre légèrement mes mains autour de sa nuque. Elle me dit doucement : — Aie, tu me fais mal. Je sens soudain que je bande à l’extrême. Sans lui lâcher le cou, je libère mon pantalon de la main gauche, puis je tire sur sa jupe qui dégringole par terre. Après, je me pousse sur elle, ma main gauche retourne à son cou que je serre maintenant avec les doigts des deux mains, et de plus en plus, je me retrouve enfoui dans son corps, mon sexe au plus chaud de ses nymphes. Un étrange éclair jaillit souvent dans l’espace de la chambre, et s’empare de tout mon corps et tout mon être. Mes doigts continuent à lui serrer la nuque dont je sens les muscles et les nerfs tendus, alors que mon corps remue sur elle. Je la pilonne, je vois ses traits qui se tordent, j’imagine sa douleur. Ses lèvres poussent quelques soupirs. Je vois son visage et son cou qui deviennent livides, mais je ne fais rien pour la soulager. Des flammes géantes dansent devant mes yeux, mon eau bouillante risque de déborder. Chaque pression supplémentaire de mes doigts sur sa nuque devient un pas de plus vers ...
... la catastrophe annoncée : le volcan furieux de l’absolue jouissance. Enfin je jouis, et je la libère. Puis je m’écroule sur un fauteuil, essoufflé, en tremblotant. Elle passe sa main sur sa nuque et bouge ses lèvres, mais sa voix s’est éteinte dans sa gorge. Elle vient à côté de moi, met sa tête sur ma poitrine, comme si je ne lui avais pas fait de mal, comme si je n’avais pas failli l’étouffer. — Tu veux savoir ce que m’a dit Monsieur Bourdon ? me dit-elle, par une voix basse, douce, avec une aisance et une simplicité à couper le souffle.— Oui, mais sans t’obliger. Me sentant nerveux, je prends une clope et la fume en la regardant droit dans les yeux. Elle me paraît belle et bizarre à la fois, d’une grâce divine. Trop raffinée pour moi, me dis-je. — En fait, il me nomme chef de département. L’annonce me tombe dessus comme une coulée de lave brûlante. J’aurais pu tout imaginer, mais pas cette humiliation. — À la place de Paul ? dis-je entre les lèvres, en sueur.— Paul et Claude, les deux à la fois. En fait, je serais son adjoint.— Ben, félicitation, lui dis-je, amer.— Écoute, je comprends… se met-elle à dire.— Je sais, je l’interromps, n’en parlons plus.— Je ne voulais pas te…— Écoute Annie, je préfère rester seul, tu comprends.— Oui… bien évidemment, dit-elle, avec une larme. Elle remet sa jupe, prend son manteau et son sac à main et se dirige vers la porte, puis elle sort, ferme doucement la porte et se précipite dans les escaliers. Je sens un souffle de froid, je mets ma ...