La vérité sur Paul, Sylvie et Annie
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
... comme ça de deviner de quel sexe elle était. — Les experts sont formels, c’est un crocodile, dit le pédé !— Et en plus, il l’a mangé à vif, renchérit Colombo, les experts le savent, par les traces, et les réactions chimiques dans le corps, ils sont formels.— Mais, mais je n’ai rien à voir là-dedans, c’est, c’est horrible.— Alors…. Vous l’avez frappée, il, ou elle si vous préférez, est tombée dans une flaque de sang, et puis vous l’avez sanglée, et vous avez lâché le crocodile ! comment avez-vous fait d’ailleurs, il était dans une cage ?— Non, non, arrêtez, je ne parlais pas de Sylvie, mais de Paul.— Paul ?— Oui, c’est un autre collègue, qui s’est noyé dans la Seine.— Jamais entendu parler, et toi ? dit Colombo à son acolyte.— Moi non plus, renchérit le pédé, c’était quand ?— En mars, un vendredi de mars.— Eh ben vérifions, dit Colombo – en tapotant sur son clavier, cherchant pendant deux ou trois minutes, alors que je sens que je suis foutu – mais rien, aucun incident sur la Seine en mars, ni en avril, aucun corps repêché.— Et pourtant… c’est vrai.— Vous avez rêvé, peut-être !— Non, je ne suis pas fou, vérifiez les patrouilles ce jour !— Et bravo, vous avez de bonnes idées, comme celle du croco d’ailleurs, vous êtes pas si bête que ça, dit le pédé en cherchant une minute sur son ordinateur, puis il continue : et rien à signaler, à part des échauffourées, la traque d’un dealer, de la circulation bien évidemment, et rien sur la Seine, et aucune poursuite dans la rue ...
... Saint-Jacques.— Mais je ne suis pas fou, je vous assure, ça s’est passé.— Écoutez, dit Colombo, arrêtez de nous divertir, revenons à notre sujet, au crocodile.— Je n’ai rien à voir là-dedans.— Hummm, on savait que ce serait difficile, dit le pédé à Colombo.— Mais je vous le jure, dis-je, en constatant, avec stupeur, que je n’ai plus peur.— Arrêtez de jurer, on s’en moque, vous reconnaissez la victime, tout au moins.— Bien évidemment.— Le dernière fois que vous l’avez vue ?— Je ne sais pas, il y a une semaine, ou deux.— Où ?— Au bureau.— Vous travaillez dans les mêmes locaux ?— Oui.— Au même étage ?— Oui.— Quelles étaient vos relations ?— Rien de spécial, amitié, c’est tout.— Humm, dites-nous tout.— Je vous le jure.— Arrêter de jurer, rapprocher vous, c’est bien vous ici, non ? Tout en parlant il me rapproche l’écran de son ordinateur portable 17 pouces Toshiba, modèle deux ans en arrière, et lance un film où je me vois chez Sylvie, en train de renverser le canapé, puis je prends un des deux chiens en faïence qui se regardaient derrière la porte de l’appartement et je le jette sur l’autre, les réduisant tous les deux en morceaux, après je quitte l’appartement en claquant la porte, après c’est Sylvie, toute nue, avec ses seins et son zizi, qui vient voir ses chiens en faïences, elle en prend deux morceaux, tente de les ajuster l’un sur l’autre, puis les rejette par terre et entre dans sa chambre, calmement. Il coupe le film. — Il y a des séquences beaucoup plus parlantes, si vous voulez, ...