Le journal des Glénants - Histoires de Sexe

Le journal des Glénants

... artificielle, ce sera tellement plus joli et naturel. Lorsque, le soir, avec Marc, nous avons visionné les photos d’Éric sur son ordinateur portable, j’ai vu Marc longtemps silencieux et admiratif. — Tu es aussi jolie et émouvante qu’au naturel. Ces photos sont dignes de toi, a-t-il fini par articuler la gorge pleine d’émotion. Oh ma Flavie, tu peux vraiment confier tes ébats à Éric. Il saura en tirer toute l’émotion qui en résultera. Avant de donner mon accord, j’ai longuement tourné une idée dans ma tête : — Mon Marc ! Si tu étais présent toi aussi, je n’aurai plus aucune peur. Aurais-tu le courage de voir ta Flavie jouir entre les bras d’un autre ? Oh, dis oui, je t’en supplie ! C’est Éric qui a dénoué la situation avec son tact habituel après nous avoir dévisagés tous les deux intensément. Après tout, il ne connaissait rien de notre situation. — Si j’ai un aide, beaucoup de choses seront facilitées car, je connais Pierre, il bougera et se déplacera beaucoup avec son amante. Il faut que l’intendance suive. Marc m’a embrassée sur la joue et a soufflé à mon oreille : — Oui, ma petite femme, je serai à tes côtés. Mais protège toujours ton sexe des entreprises de Pierre. Quand Pierre est arrivé, Éric l’a tout de suite entraîné je ne sais où et Pierre n’est rentré dans ma chambre que tard dans la nuit. Il s’est glissé dans mon lit en silence. J’étais couchée sur le dos, il m’a caressée avec beaucoup de douceur allant de mes seins à mes genoux. J’étais déjà dans un état ...

... d’euphorie lorsqu’il m’a dit : — Pour te punir de tes combines avec Éric je vais faire l’amour dans ta bouche simplement pour jouir jusqu’à éjaculer. Je passerai ta gorge, ainsi tu seras encore plus prête pour demain car, cela aussi je veux le voir sur la pellicule. À propos, ma chère Flavie, ton Éric est un peu magicien. Non seulement il t’a convaincue mais encore tous tes vœux sont exaucés. Des amis d’Éric nous prêtent leur villa, avec piscine, figure-toi, pour plusieurs jours. Ils sont absents. Éric m’a dit que Marc viendrait aussi, pour l’aider, après tout ce fut ton premier amant et il a eu la délicatesse de laisser vierge ta bouche et ton anus. J’espère seulement qu’il sera heureux de te voir prise ainsi ou pas trop jaloux. Prise d’un désir soudain je lui ai dit : — Attends, ne bouge pas. Je me suis redressée, mise à genoux sur le côté du lit à hauteur de son sexe dressé qui m’apparaissait encore plus long que d’habitude et j’ai commencé à le caresser de mes lèvres. Je l’ai enserré de mes deux mains, l’une dans le prolongement de l’autre. Son gland émergeait encore, agressif, gonflé, que j’ai pris entre mes lèvres et mes dents. Il a sursauté. J’ai enlevé une main et petit à petit j’ai introduit son sexe dans ma bouche. Il a touché le fond de ma gorge avant que mes lèvres n’aient atteint ma main. Là je lui ai fait lentement l’amour. Dans ma main je sentais pulser son sang, j’ai compris qu’il ne tiendrait plus longtemps. Je lui ai demandé s’il voulait se déverser dans ma gorge et ...