Le journal des Glénants - Histoires de Sexe

Le journal des Glénants

... bandait de façon presque menaçante et il m’a paru immense. Sans rien dire il a pris ma tête et a dirigé son sexe vers ma bouche. — Il faut d’abord que tu me vides, a-t-il murmuré, sinon je ne pourrai pas te faire jouir. J’attends ce moment depuis l’an dernier. Je savais que tu allais revenir, et il m’était évident que je te prendrais un jour. J’ai même fait vérifier que je n’avais pas le sida et donc que tu ne craignais rien. Timidement je l’ai effleuré de mes lèvres, il a alors ri doucement : — Mais, ma parole, on dirait que c’est la première fois que tu fais l’amour avec ta bouche. J’ai fait signe que oui avec la tête. — Oh, c’est parfait ! Alors on va prendre notre temps. Et, malgré son impatience, il a mis une infinie patience à se faire caresser par mes lèvres puis à s’introduire lentement entre mes dents. Il dirigeait ma tête de ses deux mains et m’avait demandé de poser les miennes sur mes seins pour jouer avec leurs pointes. — Elles sont si sensibles que tu vas toi-même te faire jouir pendant que je te baiserai par la bouche. Finalement il s’est introduit jusqu’au fond de ma gorge et pourtant, son sexe était à peine entré mais j’ai senti qu’il allait jouir et j’ai eu peur de recevoir son sperme. Je tremblais tout en serrant très fort le bout de mes seins. Et le miracle s’est produit, un orgasme a surgi en moi et j’ai senti son sexe exploser dans ma bouche où il est resté jusqu’à ce que j’aie tout avalé et qu’il ait débandé. — Flavie, aucune fille, aucun garçon ne m’a ...

... jamais autant fait jouir par sa bouche. Avant la fin du mois je t’apprendrai à me prendre tout entier, je passerai la barrière de ta gorge et lorsque je me déposerai dedans toi, tu ne sentiras même pas mon sperme qui ira directement dans toi. Ce plaisir, Marc, j’ai juré de te le donner un jour. Epuisée, je me suis allongée sur le lit, il est allé se laver puis il s’est blotti contre mon dos, enserrant ma poitrine. Son sexe était de nouveau dur contre mes fesses. J’ai murmuré : — Prends-moi, Pierre, mon vagin est tout humide du désir de te sentir encore en moi.— Non, m’a-t-il répondu. Et il s’est lancé dans de grandes explications que j’ai enregistrées comme en rêve. — Rappelle-toi ce que je t’ai dit sur le bateau, je te ferai l’amour comme à un garçon. Sais-tu ce qui m’a plu ce soir avec mes copains ? C’est que j’allais baiser un « garçon » (il a appuyé sur le mot) et, pour une fois je pouvais le faire savoir à tous, je leur ai dit que je ne te baiserais que par derrière. Cela les a bien fait rire et ils ont parié que je ne résisterais pas à te prendre autrement. Quand je fais l’amour avec un garçon, je ne sais pourquoi je le cache aux autres. Toi, tu es une fille pour eux et un garçon pour moi. Mais je ne te prendrai pas ce soir. Tu n’as jamais été sodomisée, n’est-ce pas ?— Comment le sais-tu ? ai-je murmuré dans mon sommeil. Je suis vierge de ce côté, jamais personne ne m’a pénétrée ni même caressée. Nous les filles, nous sommes faites pour vous recevoir dans la douceur de ...